Donc ça y est, on a des défenseurs de Meurice qui viennent la bouche en cœur faire des blagues antisémites en signe de "résistance face au pouvoir". C'était prévisible. Ça reste désolant.
J'ai jamais aimé la formule "en France, le racisme n'est pas une opinion, c'est un délit". Parce que la contraposée, c'est que si la justice ne condamne pas, ce n'est pas du racisme.
Et c'est doublement dangereux. D'abord parce que la loi ne condamne pas tous les propos racistes, seulement ceux qui incitent à la haine. Ensuite parce que la justice est par construction très blanche, bourgeoise et conservatrice.
@VieilOgre mais heureusement il y a quelques condamnations il me semble (Zemmour)
Et ça c'est parce que cela reste assez simple de qualifier des propos d'incitation à la haine envers les personnes racisées.
On va avoir nos premiers jugements pour transphobie mais je doute eu résultat vu que dans les jugements pour agression homophobe, le caractère homophobe n'est presque jamais retenu
Punaise, je viens d'avoir un flash. Je viens de me revoir ce matin, en train de déplacer le sac poubelle que j'avais posé devant ma porte d'entrée, ouvrir la porte d'entrée le sac à la main et la refermer... les mains vides.
C'est important de comprendre les ordres de grandeur. J'échange avec un avocat qui me dit : "la preuve que cet appartement n'est pas occupé, c'est que la consommation d'eau est très faible, seulement 45 m³". 45 m³, c'est 45.000 litres. Ce n'est pas "très faible". C'est même plus que la consommation moyenne par an et par personne (36 m³).
Les démarcheurs pour les œuvres caritatives, on leur donne vraiment un déroulé de vente insupportable, à la limite du harcèlement. C'est pire que les vendeurs de fenêtres ou d'énergie. Là, j'en ai eu un qui m'a fait tout son laïus. C'était nul, mais je lui dis quand même OK, de m'envoyer son mail et que je donnerai X € par mois. Mais lui, c'est un closer, il n'a sa prime que quand j'ai rempli le formulaire, donc il veut que je le remplisse en ligne en direct avec lui.
@VieilOgre Le client final est une ONG, mais l'employeur est un prestataire tout ce qu'il y a de plus capitaliste, qui marge sur la générosité des gens et la violation des droits de ses salariés. Je n'ai aucun scrupule à refuser de participer à ce système qui parasite le monde associatif.