"il faut réhabiliter l’idée que (la grève) n’est pas un moment exceptionnel, mais qu’elle fait partie intégrante de la vie professionnelle et citoyenne. Outil du contre-pouvoir des travailleurs, moyen d’expression directe et d’intervention dans les politiques menées à l’intérieur du pays, elle est garante d’une certaine vitalité de la démocratie" #GloireàlaGrèvehttps://www.revue-ballast.fr/changer-le-regard-sur-la-greve/
@scudery Facile. Tu prends ton nom de famille. Tu rajoute "De" avant. Et hop, t'as une particule et on pourra venir te couper la tête à la Révolution. Hoplà
Sur Finter Joann Sfar qui insulte toutes les personnes qui se sont mobilisé. es contre la réforme des Retraites en prétendant qu'on a manifesté avec l'extrême droite.
@Camille_Poulsard France Inter. Toute son interview consistait à balancer des obscénités avec une voix douce et des éclats de rire.Type " les soldats israéliens que j'ai rencontré étaient très sympas" donc pas du tout génocidaires contrairement à ce que rapporte lestémoignnages, les ONG, les médias
Centrale de Zaporijia occupé depuis mars 2022 par la Russie : on s’approche « dangereusement d’un accident nucléaire » a mis en garde lundi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, dénonçant les récentes attaques de drones contre la centrale nucléaire ukrainienne. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2065229/centrale-zaporijjia-accident-nucleaire
Si L'état n' jamais supprimé l'assurance chômage qu'il accuse de tous les maux c'est parce qu'elle lui rapporte bcp
"car elle est très chère pour les assurés (salariés et employeurs) : près d’un mois de salaire net de contributions, par an et par salarié, soit 35 mois de salaire sur une carrière complète, l’équivalent de 50 mois d’allocations… Or depuis 1982, les droits ont toujours été réduits, mais les contributions ont augmenté sans jamais diminuer" https://www.alternatives-economiques.fr/bruno-coquet/assurance-chomage-une-inepuisable-source-de-taxation-letat/00110244
Très fan de cette caméra posée à côté de la machine à écrire dans "L'Homme à la valise" (Chantal Akerman, 1983) qui capte le désespoir de l'héroïne, dérangée par une cohabitation subie avec un vague ami.