[Fédiverse] Quels arguments présenter pour le fédiverse libre
Salut à tous et toutes !
Je lance une petite bouteille à la mer. Je rédige une présentation sur le fédiverse. Seulement, je suis confronté à un problème de taille, et je ne sais pas par quels fils commencer : Thread (Facebook), je crois, qui utilise aussi ActivityPub. (ya aussi Microsoft et Linux mais ce sera pour un autre post.)
Mon objectif est de convaincre les utilisataires de migrer sur des logiciels du fédiverse libre et d'avoir d'autres arguments que celle de la vie privée. Parce que manifestement tout le monde s'en fout tant que ça ne les concerne pas, comme pour le climat. Sauf nous.
Donc j'ai besoin d'un peu documentation, d'aide, de lumière, de pistes. :bulb_grin:
Je me demande qu'est ce qui se passera pour les données privées ? Est-ce-que facebook pourra les exploiter si je répond à une photo instagram ? Ou de toute facon c'est exploité par les robots crawlers car iels siphonnent le net et l'indexent ? Donc on peut rien y faire à part utiliser des tchats chiffrées ?
De quoi le fédiverse local et libre nous protègerait ? Qu'est ce que ça changerait au niveau des interactions sociales et mentales ? De l'algorithme ? En quoi nous serions différent de Facebook ? En quoi ce serait un bien commun ?
Toute opinion, même celle d'un.e simple utilisataire est la bienvenue :blob_aconga:
Ce qui me plaît bien c’est l’existence de multiples instances qui dilue l’effet de réseau. Je m’explique par un exemple :
Je déteste Snapchat mais tous mes amis y sont. Pas le choix, je dois l’utiliser.
Sur le fediverse, c’est différent. Si tous mes amis sont sur jlai.lu mais je n’aime pas, je peux me faire un compte sur slrpnk.net et discuter avec mes amis quand même.
Et comme c’est open source, je peux même décider d’ouvrir une instance perso. Ce qui évitera qu’ une entrée en bourse un changement de PDG radical dans les fonctionnalités développées défigure mon réseau social préféré.
Mots venus de la francophonie, écriture inclusive, la langue française connait actuellement une période d’ébullition qui se place entre normes et usages. La langue est vivante, mais qui peut décider de ces changements ?