On a tellement normalisé l'extrême droite que le mec peut tranquillement pleurer parce que ses collègues ne le défendent pas contrairement à Guillaume Meurice.
Mais gars, tu collabores avec les fachos en faisant un pari mortifère qu'ils vont prendre le pouvoir et que tu aurais été l'un des premiers journalistes à cosigner avec l'un de leurs chefs. Assume.
Y a un truc qu'est quand même très bizarre dans le discours du pouvoir actuel qui veut de "l'IA partout et pour tous" et "en même temps" qui sacralise une fausse "valeur travail" où il faudrait qu'on continue à trimer et à se casser le dos pour vivre.
Pour les chercheurs et chercheuses : « avant la fin de l’année, chaque organisme de recherche devra proposer une mobilisation de ses moyens sur la recherche interdisciplinaire s’appuyant sur l’IA » Emmanuel Macron.
Dans mon article : Remarquons aussi que les chercheurs ont déjà l'habitude, depuis des années, de mettre en avant leur utilisation de l'IA dans leurs réponses à appels à projet, le « buzz word » permettant d'attirer plus facilement les financements.
"Comme l’a rappelé la CIJ dans son arrêt Bosnie-Herzegovine contre Serbie de 2007, l’obligation légale des États de prévenir le génocide a précisément pour objet d’empêcher, ou de tenter d’empêcher, la survenance d’un tel crime, ce qui nécessite forcément de le nommer avant qu’il ait lieu"
Vous aviez suivi les nombreuses une de Macron et du gouvernement dans le JDD Bolloré/Lejeune.
Les députés macronistes écoutent maintenant Lejeune pour "nourrir leurs réflexions dans le cadre de la rédaction du livre blanc à destination des EGI.
Pour rappel, les "EGI", ce sont les États généraux de l'information, le truc que les macronistes ont mis en place au moment de la reprise du JDD par Bolloré pour jouer les sauveurs de la presse...
Les cookies walls ont même envahi les éditeurs scientifiques.
Je voulais accéder à un article titré "ChatGPT : le droit en question (s)" et rien que la page de présentation de la revue qui te demandera de payer 300 € l'abonnement annuel est derrière le cookies wall.
J'avoue, j'ai abandonné.
Comment des spécialistes en droit du numérique acceptent que leurs articles soient derrière tout ce tintouin qui ne respecte manifestement pas le RGPD ?