Le curé traite en chaire les enfants de l'école laïque de "mal peignés", de "bestiaux" de "diables" et leurs parents de "réprouvés". 1898, Lézardrieux (Côtes-d'Armor)
Mon grand-père maternel fabriquait des escaliers en bois (entre autres). Chaque enfant a eu droit au sien. Parmi les photos familiales, peu de réalisations photographiées, si ce n'est celle-ci, prise sous 3 angles différents.
Gâteau à la crème pour l'anniversaire de Jean (mon grand-père) 🎂
Habituellement, c'était plutôt les gâteaux armoricains au menu. Pas de date, mais avant 1994 car sa mère est toujours là.
Ma grand-mère Irma (dite Simone) est aide-infirmière à Blois à partir de 1937. En 1941, elle passe le certificat d'aide médico-sociale de la Croix-Rouge française 💉 🏥
Pendant ce temps-là, son futur mari Louis parcourt les charpentes de France... tour interrompu par la guerre
Sphères.
Un ballon qui traîne, sur 3 des 4 plaques de verre de la série.
Des chapeaux fleuris.
Des visages souriants.
Moi qui tourne en rond pour savoir où, quand et qui, si ce n'est Annette Burande (1853-1916), marchande aux halles de #Paris, aïeule à la 6e génération, et sa voisine dont le profil ressemble tellement à ma mère. Voire au mien.
Avant de faire des escaliers, Louis était charpentier (jusqu'à la chute d'un toit). Parmi quelques photos non identifiées, j'aime particulièrement celle-ci.
Mes grands-parents maternels habitaient "en Vienne" (quartier de Blois, sud-Loire). Pour rejoindre le centre de la ville, il fallait traverser le pont Jacques-Gabriel, sous les bombes à une certaine période. Jusqu'à ce qu'il soit en partie détruit le 16 août 1944.