livres

This magazine is from a federated server and may be incomplete. Browse more on the original instance.

snoopy,

Les partis pris de la « nouvelle historiographie » de la Commune de Paris

@livres
www.contretemps.eu/commune-paris-1871-histoire-tombs-deluermoz/

Les dates-anniversaires de la Commune de Paris sont un révélateur puissant des tendances du débat historiographique consacré à cet événement mais aussi de l’état général des courants sociaux et politiques qui se sont réclamés de son héritage. [...] [...]

C’est à une approche critique de ces derniers qu’est consacré l’ouvrage d’Emmanuel Brandely Les historiens contre la Commune, paru en avril dernier aux éditions Les nuits rouges. Dans cette « nouvelle historiographie de la Commune », l’auteur distingue avant tout une volonté de normalisation de l’événement, menée au nom d’une approche supposément « scientifique » et « dégagée des lectures idéologiques ».

Celle-ci révèle pourtant rapidement ses propres partis pris. Soucieuse d’intégrer l’événement dans un récit national structuré autour du consensuel référent « républicain », cette historiographie se caractérise par une polémique systématique, tantôt ouverte, tantôt implicite, dirigée contre les « mythes » véhiculés, selon elle, par les interprétations marxistes de la Commune, à commencer par celle consignée dans les écrits de Marx lui-même.

L’extrait que nous publions développe cet aspect, en s’attachant plus particulièrement aux travaux de deux historiens qui ont bénéficié d’une visibilité particulière lors du cent-cinquantenaire : Robert Tombs, figure de la droite intellectuelle britannique, curieusement adoubé en France par certains historiens et éditeurs de gauche, et Quentin Deluermoz, auquel Emmanuel Brandely avait déjà consacré un article publié dans nos colonnes.

Robert Tombs [...] affirme péremptoirement que « les communards n’étaient pas communistes »> Disons-le tout net, ces affirmations n’ont aucune pertinence historique.

Dire que les « communards n’étaient pas communistes » n’a pas plus de sens que d’affirmer qu’ils l’étaient. Le problème n’étant pas de répondre par l’affirmative ou par la négative, mais bien de comprendre ce qu’était le « communisme » de 1871, avant de vérifier dans quelle mesure les communards l’étaient ou ne l’étaient pas. Et qu’était-ce au juste que ce « communisme » de 1871 ? Pour le savoir tendons de nouveau l’oreille à ce que disent les communards.

Mais la revendication communiste n’est-elle pas plus largement partagée, même lorsqu’on ne s’en revendique pas explicitement ? Écoutons cette oratrice du club de la Délivrance : « Les ateliers dans lesquels on vous entasse vous appartiendront ; les outils qu’on met entre vos mains seront à vous ; le gain qui résulte de vos efforts… sera partagé entre vous »

snoopy,

La démocratie participative : entre fausses promesses et maintien des inégalités

@livres
www.contretemps.eu/democratie-participative-fausses-promesses-inegalites/

Dans leur livre récemment paru aux éditions Textuel, Manon Loisel et Nicolas Rio mettent en évidence les raisons pour lesquelles la démocratie participative – devenue si consensuelle ces 20 dernières années – n’est nullement parvenue à revitaliser la participation démocratique. Nous vous en proposons ici un extrait.

Le combat pour la parité femmes/hommes en est l’illustration. Pour que les femmes puissent accéder aux fonctions électives et être présentes dans les médias, encore faut-il que les hommes leur laissent la place… et prennent conscience que, souvent sans s’en rendre compte, ils occupent cette place-là. C’est en objectivant, et en contestant la surreprésentation des hommes que les féministes sont parvenues à la réduire (même si le combat est loin d’être gagné).

La parité montre que pour entendre l’ensemble des citoyens, il ne suffit pas de redoubler d’efforts pour aller vers les inaudibles. Il faut aussi restreindre la place accordée à ceux qui s’expriment déjà. Les contraindre à se mettre temporairement en retrait pour prêter attention aux absents. C’est d’ailleurs le principe de base de toute élection : chaque électeur ne dispose que d’un seul bulletin. La présentocratie participative permet au contraire à ceux qui le veulent (et le peuvent) de voter plusieurs fois.

snoopy, (edited )

Nature et préjugés, Marc-André Selosse 2/10

@livres

Retour au sommaire (Mastodon/Iceshrimp)
Retour au sommaire (Lemmy)

Chapitre 2 :

  • Il nous faut une transistion : ❌
  • Notre évolution culturelle et biologique doit être continue : ✔️

Après avoir déconstruit l'idéal de la Nature et démontré qu'elle suit la mécanique froide de la sélection naturelle dont nous en sommes les survivants, que la Nature ne fait pas forcément bien les choses, Marc-André Sellosse parle de l'évolution culturelle.

Il commence fort en abordant la question de la transistion écologique avec le glyphosate, pesticide reconnu cancérigène. Il est sur un champs de grandes culture qui pratique l'agriculture de conservation : sol couvert, culture intercalaire qui l'enrichie en azote ou l'aère.

Sauf qu'on utilise du glyphosate. Pourquoi ? La méthode bio consiste à broyer la culture sauf que ya du chiendent, ça repart quand on le coupe en petit morceau. Donc faut surtout pas broyer les cultures, ce n'est pas une bonne méthode. On utilise donc l'herbicide le glyphosate et le sol reste vivant. Comparé au laboure, d'après le test du slip en coton, il détruit moins le sol.

Ce fut l'intro de son essai sur la transistion. Pour lui, il faudrait écrire des transistions. En effet, dans son exemple, ya 2 agricultures :

  • L'une sans pesticide qui détruit le sol et le vivant avec le labour.
  • L'autre avec du pesticide, sans labour qui garde le sol vivant.

On ne peut donc voir la transistion comme un bloc unique car en fonction des paramètres nous sommes appelé à pratiquer une agriculture adapté à son environnement et que chaque transistion/évolution en a appelé d'autres.

Le labour, était une transistion utile qui a permit de réduire les famines en europe au XIX sciècle. Puis, nous avons vu les dégats sur le sol, cela a appellé une autre transistion : l'agroécologie.

(Lecture en cours, partie évolution culture en phase d'assimilation)

Nos habitudes culturelles se heurtent à celui de l'évolution. Ainsi le glyphosate qui était un herbicide perdra ses effets car le vivant s'adapte, un immobilisme face à l'évolution.

Aparté : On pourrait imaginer que le voile anti-insecte en agroécologie selectionne des insectes nains, que la toile tissée favorise des plantes ryzhomes. De là, il faut imaginer perpétuellement d'autres systèmes et non y voir une unique solution.

Les solutions de demain en appeleront d'autres car le vivant s'adapte. La culture influence la biologie, et la culture influence la biologie. Selosse nous invite à développer une pensée bioculturelle et pencher d'avantage sur les mécaniques de l'évolution pour trouver des solutions qui s'adaptent au vivant.

snoopy, (edited )

@livres @bikepunk Maintenant que tu le dis, effectivement les femmes sont sous représenté dans le monde agricole. Dans les vidéo que j'ai vu, avec une paysanne, ya Damien Dekarz qui nous présentait une éleveuse de chèvre et comment elle gérait differement son cheptel. Et, je me rapelle plus de son prénom...

Ahma, ça vaut le coup de contacter ver de production et de les sensibiliser dessus et de leur demander une parité homme-femme dans leur expertise.

snoopy,

@bikepunk En taille arbre fruitier, ya un bucheron élagueur que je connais qui est bien : Marceau Boudarias. Il organise des formation pour les jardiniers de 1-2 jours en corrèze.

kebra,

« Réduire la littérature à un divertissement est un programme politique »

@livres

www.politis.fr/articles/2024/05/bertrand-leclair-puissances-de-lart-lance-de-telephe-reduire-la-litterature-a-un-divertissement-est-un-programme-politique/

Avec Puissances de l’art ou la Lance de Télèphe, Bertrand Leclair envisage la littérature comme pratique artistique, dévoilant combien elle peut être une voie de connaissance, profonde et joyeuse.

kebra,

Le slow sex, la sexualité en pleine conscience

@livres
www.babelio.com/livres/Richardson-Le-slow-sex/1249645#!

Et si le secret d’une sexualité aussi épanouissante qu’intense était la lenteur ?

La sexualité conventionnelle, orientée vers l'orgasme, peut certes apporter une satisfaction momentanée, mais sur la durée, elle peut devenir mécanique et ennuyeuse.

Pour aller vers une satisfaction plus profonde ou redonner vie à une sexualité déclinante, les trois auteurs de ce livre invite ici les couples à vivre l'acte sexuel en pleine conscience.

Au fil des pages et d’exercices pratiques, ils proposent de découvrir comment la sexualité en conscience augmente la sensibilité et la vitalité sexuelle, et comment, par sa capacité à restaurer et à générer l'amour, elle est une sexualité véritablement aimante.

Un livre qui invite à faire l’amour autrement, à ralentir, à se détendre, à se libérer des pressions imposées par notre conditionnement et à remettre en question les idées communément admises sur la sexualité.

xynthia, French

Syndrome Chuck Bass, faux « nice guy »… Comment les films et séries nous font aimer des hommes toxiques

@livres
https://mamot.fr/@Khrys/112344621288440397
Khrys@mamot.fr -

https://www.huffingtonpost.fr/culture/video/syndrome-chuck-bass-faux-nice-guy-comment-les-films-et-series-nous-font-aimer-des-hommes-toxiques-clx1_233033.html

Le livre « Désirer la violence » de Chloé Thibaud analyse comment la pop culture banalise les violences sexistes et sexuelles, à travers des archétypes masculins nocifs.

kebra,

Tout plaquer, la desertion ne fait pas partie de la solution mais du problème, Anne Humbert

@livres
Un petit essai qui parlera de la transistion, du choix que certain et certaine feront pour changer de boulot et mener une autre vie plus en accord avec nos valeurs.

Ce que critique Anne Humbert est justement tout un mouvement qui fait dans l'Art du storytelling et le vend. Un mouvement qui oublie ses racines, son héritage, plus exactement leur classe sociale qui leur permet de réaliser leur rêve quelqu'en soit le cout et le risque.

C'est une chose que la majorité des gens ne peut pas se permettre à cause de leur situation fragile.

Donc pour résumer, ya la narration "j'ai été ingénieur.e et j'ai tout plaqué" sous diverse forme. Qui sous-entends "quand on veut, on peut". Ya la classe sociale, "j'ai de l'argent, je peux acquérir des terres, changer de boulot comme de paire de baskets"

Sur le fond, je suis plutot d'accord avec ses idées lorsqu'elle explique qu'on manque de paysans et paysannes parce que les terres agricoles sont inaccessibles à cause de leur prix. Plus exactement des investissements à réaliser sont élevés. Et que forcément celleux qui ont les moyens sont avantagés.

Reste, que ya tout de meme une autre vocation derrière le métier paysan où une grande partie seront à la retraite et l'agrobuiness va acquérir leur terre. Ya aussi la question de l'insécurité alimentaire, instabilité climatique où il faut agir très vite...et travailler dans le vent sous la pluie, laver les carottes dans l'eau froide, se lever à 4h du matin pour le marché à 6h un samedi, les demandes de dérogation, autorisation de construction, planifications, plein de choses qui ne sont pas abordés ou ellipsés via le ménage des champs.

Au final, le très petit livre n'offrira pas vraiment une perspective nuancée, ce n'est pas son propos mais elle nous rapelle que la transistion n'est pas forcément accessible à tous et toutes. Et qu'il existe d'autres moyens de luttes.

kebra,

@livres
le monde diplomatique

«Pénurie de main-d’œuvre, civilisation de la pantoufle… Où est passé le goût de l’effort ? », interrogeait la « une » du Point du 30 juin 2022. Volatilité des personnels et difficulté à recruter dans certains secteurs (restauration, hôtellerie…) : la « grande démission » a passionné la presse française, surtout de droite. Le phénomène s’ajoute à celui des reconversions d’urbains diplômés que le « désir de sens » a conduits vers l’élevage, la permaculture ou la boulangerie. Pied de nez aux bullshit jobs et au néolibéralisme ? Anne Humbert, ingénieure, qui n’oublie pas les « non-diplômés », les « pas cools », « ceux qui n’ont pas confiance en eux », considère plutôt que « le plus grand atout des injonctions à tout plaquer pour le néolibéralisme est l’affaiblissement des liens entre les individus. Promouvoir la désertion, c’est promouvoir le droit (et même le devoir) de rompre tous les liens, les engagements, les loyautés, pour soi-disant cheminer vers notre vrai moi (…). Nous sommes incités à faire passer notre destin individuel avant tout le reste ». Et avant la lutte collective.

kebra,

@livres

Une autre critique

Mini-format, maxi-réflexion ! L'écriture de ce tout petit ouvrage part d'un constat : l'autrice, Anne Humbert, ingénieure de profession, constate autour d'elle de plus en plus de reconversions vers des métiers dit manuels, de déményagements à la campagne et autres formations en permaculture. La majorité des personnes concernées explique ces changements radicaux par un désir d'utilité sociale, d'oeuvrer contre le dérèglement climatique ou pour une société plus juste…Mais ces arguments ne convainquent pas l'autrice, voire l'agacent, parce qu'ils s'accompagnent souvent d'une injonction à faire de même : les personnes reconverties, les ex-parisiens•nes vivant dans une ferme au milieu de nulle part, ont du mal à comprendre son choix à elle de rester dans la vie professionnelle et personnelle qu'elle mène. Pourtant, selon elle, son choix n'est pas forcément si banyal ni conformiste qu'il n'y parait.

Pour déployer son propos, Anne Humbert montre tout d'abord que ces types de reconversion sont bien souvent réservés à l'élite, qui possède déjà le capital cultuel, les ressources finyancières et les codes de communication nécessaires à une reconversion réussie. Elle dényance aussi l'injonction à la rupture sèche et nette prônée par « un imaginyaire neo-libéral, individualiste et inégalitaire ». Pour résumer : à droite, on pousse les gens vers l'autoentrepreunyariat, statut qui ne donne pas accès aux droits sociaux tels que les congés payés, les arrêts maladie, etc., et à gauche, on valorise des projets de vie plus conformes aux valeurs humanistes mais finyalement peu porteuses d'un changement radical de la société.

Si je ne suis pas forcément d'accord avec tous les propos de ce texte, j'ai paradoxalement beaucoup apprécié la prise de position très marquée, très extrême et décidée de l'autrice : étant moi-même le produit d'une reconversion professionnelle, sa pensée m'a justement donné à réfléchir, à remettre mes idéaux en perspective et, je l'espère, à m'ancrer plus dans la réalité pour l'avenir. J'ai trouvé le débat très intéressant et profond, nécessaire pour aller vers une vraie transformation.

kebra,

Fem de Joan Nestle, une histoire du feminisme et lesbianisme dans les années 1950 aux USA.

@livres

Au début, j'ai eu du mal à comprendre car je comprenais pas le mot butch-fem, qui apparaissait partout sans réellement le définir. Ce terme sera décrit vers le milieu du bouquin mais aussi à travers sa double lecture.

La structure du livre est étonnante, c'est à la fois un reccueil historique qui rapelle ce que c'etait d'etre une femme lesbienne, vétue comme les hommes dans un milieu homophobe où la police des moeurs faisaient des descentes, où on pouvait etre tabassées, où yavait certain controle par exemple dans les toilettes, une personne à la fois, qui se traduisait par une file d'attente interminable et devenait un espace de jeu et discussion...

Et subitement, des passages érotiques, crue, puissant et poétique. Je m'y attendais pas vu que je n'ai pas lu la 4ème couverture et que j'en ais entendu parlé dans une vidéo autour de l'amour dans les livres. Le propos me semblait historique et une critique du feminisme qui avait réduit la butch-fem en une reprise des codes hétéronormés. Et non, ces passages érotiques explorent la butch-fem, celèbre son désir, affirme sa position. Ya quelque chose dans ce rayonnement qui fait l'essence de la butch-fem. Qui est magnifique.

Le dernier chapitre clot avec le lien entre la prostitution, les lesbiennes et les bonnes soeurs. Un mélange étonnant et une histoire que je ne connaissais pas nottament la période grecque, puis le XIX siècle avec son lot de lois absurdes, amer echo que nous observons en ce moment chez les américains et un peu partout dans le monde...Joan Nestle rappelle dans ses notes qu'elle n'est elle-meme pas historienne et qu'avec la compilation de ces sources elle a voulu un mélange à la fois factuel et provocateur. Et que c'est une invitation à explorer d'avantage ce pan de l'histoire

Au final, j'ai adoré ce bouquin tant son approche est disruptive, explosive et très riche historiquement. Et les petites notes de traductions de Noémie Grunenwald et Christine Lemoine sont assez chouette à lire, de comprendre comment elles interprète tel mot, traduisent l'anglais qui est non genré...

J'espère trouver et lire d'autre livres :)

kebra,

@livres

Une critique sur Babelio

En tant que lesbienne née dans les années 90' en France, le terme "fem" a longtemps représenté pour moi une vision stéréotypée de la lesbienne hyper féminine, au contraire de la "butch" que je croyais être son pendant masculin.

Une vision schématisée, binaire et surtout fausse de la dynamique butch-fem et de la "femitude" que l'autrice m'a permis de détricoter au cours de cette lecture à la fois passionnante, sensible et sensuelle.

On y découvre sa joie d'être fem et s'émanciper des carcans de son époque, joie de vibrer dans sa sexualité et ses amours lesbiennes, mais aussi le cadre dans lequel elle choisit d'exprimer son genre et sa sexualité. La répression des "inverti.es" dans les années 50, la brigade des moeurs qui les traque dans les bars et lieux de rencontre, les codes savamment intégrés et les lignes de fuites trouvées pour s'aimer malgré tout.

Au fil des textes, Joan Nestle fait aussi régulièrement un parallèle entre sa construction de lesbienne fem dans les années 50 et la vision féministe des années 70' de la dynamique butch-fem. Avec de l'amertume et de la tristesse parfois mais aussi une volonté immense de préserver la mémoire de son vécu et celui de ses camarades de l'époque.

"(...) beaucoup de lesbiennes me rejettent comme si j'étais une victime, une femme qui n'a pas eu le choix, mais ma vie dans toute sa vérité révèle une histoire fort différente. Nous, les fems, avons contribué à maintenir notre monde lesbien uni à une époque dangereuse. (...) Nous savions ce que nous voulions et c'était un exploit formidable pour des jeunes femmes des années 1950, à une époque où le pouvoir politique nous serinait qu'il fallait être dans la norme, se marier, avoir des enfants."

Ce recueil montre pourquoi il est crucial de garder des traces de nos mémoires communes, évitant ainsi au temps et aux nouvelles théories de faire une relecture au mieux simpliste, au pire erronée, du contexte social et historique où s'ancre ces vécus.

Un énorme merci à N. Grunenwald, la fondatrice des éditions Hystériques et AssociéEs, et le reste de son équipe dont le travail est un vrai archivage et une mise en avant de textes essentiels. J'ai beaucoup pensé au cours de cette lecture à leur première publication "Stone Butch Blues" de Leslie Feinberg, qui est l'une des mes plus puissantes lectures et qui célèbre là aussi l'amour butch-fem (côté butch).

Lisez Joan Nestle, lisez Leslie Feinberg et faites circuler leurs oeuvres. le monde n'en sera que meilleur !

  • All
  • Subscribed
  • Moderated
  • Favorites
  • livres@jlai.lu
  • DreamBathrooms
  • everett
  • tacticalgear
  • magazineikmin
  • thenastyranch
  • rosin
  • tester
  • Youngstown
  • khanakhh
  • slotface
  • ngwrru68w68
  • kavyap
  • mdbf
  • InstantRegret
  • megavids
  • osvaldo12
  • GTA5RPClips
  • ethstaker
  • normalnudes
  • Durango
  • cisconetworking
  • anitta
  • modclub
  • cubers
  • Leos
  • provamag3
  • JUstTest
  • lostlight
  • All magazines