Pas des films, mais si tu as des joueurs de jeu de rôles sous la main, essaye le JDR *10 candles * c’est un zéro prep, donc tu peux t’assoir à la table les mains dans les poches et si les joueur.euses jouent le jeu vous allez flipper.
Je l’ai joué, deux fois comme MJ, une fois comme PJ, donc oui il y a un.e MJ.
Si j’enlève l’aspect : lire le livre de règles, s’approprier les conseils, la MJ n’a pas grand chose à faire. Le livre propose une dizaine de modules qui sont en fait des scenarios d’environ 1/2 page chacun, et il faut pas plus comme scénario (je vais y venir), niveau préparation, une table, des bougies, des D6, des papiers (je prends des post-it) et un saladier pour les brûler (si ton lieu de jeu le permet)
La session se déroule en deux partie, la préparation, où par échange de papier, on va créer les personages de nos voisins, ça veut dire que les gens à coté du MJ vont avoir un lien particulier avec EUX, entre autre une personne va écrire je LES ai vu … (Décrire un pouvoir possédé par EUX) Ensuite pendant la partie, les joueurs peuvent voler la narration à la MJ, et surtout énoncer des faits.
le fait qu’un des PJ énonce LEUR secret et que les PJ puissent énoncer des faits, signifie que de toute façon quelque soit les idées du MJ avant la partie, les choses vont évoluer très vite au cours de la partie, donc la préparation du scénario sera à 90% faites par ce que propose les personnes à la table
ha, ça paraît vraiment cool. J'aime bien cette idée que les joueurs créent les personnages de leurs voisins !
le fait que les scenarios tiennent en une demi-page ça me rappelle vraiment plein de trucs quand j'étais rôliste dans les 90's. On avait monté une asso à la fin des années 80 (j'étais surveillant dans un collège et les gamins ont grandi et 12 ans plus tard on jouait encore ensemble).
On se connaissait tellement bien qu'à la fin, la plupart des parties c'était impro presque totale. Les dés servaient juste au MJ (moi, le plupart du temps) à faire monter la tension, mais je regardais même plus les résultats. Je me souviens de parties qui s'étalaient sur 48 heures, c'était du sport de haut niveau, on savait plus où on était, décollage complet :)
(à l'époque, nos jeux fétiches c'était Paranoia ou Rêves de dragon, je sais pas si on y joue encore aujourd'hui d'ailleurs. Et on faisait pas mal de grandeur nature aussi.. le kiff complet..)
@Camus Question assez difficile, il y a plein de critères qui peuvent rentrer en jeu. Mais j'ai longuement réfléchi et réussi à extraire un film gagnant.
Les Bronzés font du ski.
Il y a plein de films français qui sont ou ont été des marqueurs culturels, des influences énormes sur leur époque, qui ont créé ou lancé des expressions, des memes. Je pense à Hôtel du Nord ("Atmosphère, atmosphère"), au Corniaud ("Elle va marcher beaucoup moins bien"), au Père Noël est une ordure ("ça dépend ça dépasse"), à Astérix Mission Cléopatre ("c'est une bonne situation ça, scribe ?"), et au Dîner de cons ("Juste Leblanc"). Mais au delà de tout ça, Les Bronzés font du ski (qui réussit d'ailleurs à être une des rares suites meilleures que le film auxquelles elles font suite) est devenu le symbole de toute un pan d'activité (le ski et les sports d'hiver en général). Pour ma génération en tout cas, c'est presque automatique de penser aux Bronzés quand on parle de planter de bâton, quand on se retrouve sur un télésiège qui marque un arrêt, ou quand on savoure une fondue un soir d'hiver.
Pour des raisons différentes, si je devais assigner une deuxième place, ce serait à I comme Icare. D'une part parce que c'est un excellent film avec un suspense palpitant, qui a même réussi à me captiver quand je l'ai vu enfant alors que je suis généralement hermétique à ce genre de thrillers politiques. D'autre part parce qu'il a présenté et popularisé l'expérience de Milgram, et qu'il est toujours intéressant de connaître ce genre d'expériences et leurs conclusions pour mieux cerner la psyché humaine.
En ce qui me concerne je commence mon marathon ce soir avec The Crazies (2010, Breck Eisner). Un film co-écrit par George Romero, ou la population d'une ville se trouve prise d'une folie sanguinaire après avoir absorbé des produits chimiques.
Dans le cast on retrouve Timothy Oliphant (Dreamcatcher, Hitman), Radha Mitchell (Silent Hill, The Darkness).
Ha ben oui, à Halloween on peut aussi regarder Halloween (et ses suites... et ses remakes...) !
Ha, sinon, j'ai un autre film avec Jamie Lee Curtis dans ma liste de trucs potentiels à regarder en ce mois d'octobre : il s'agit de Terror Train (1980), un slasher où elle partage l'affiche avec Ben Johnson (l'acteur, pas l'athlète) et David Copperfield (là il s'agit bien du célèbre magicien).
@Brome Verdict : sentiments mitigés pour celui-ci. Il y a une tentative d'originalité : les personnes infectées ne se comportent pas comme des brutes totalement décérébrées, elles peuvent encore parler et tenir des propos plus ou moins cohérents, ce qui les rend plus difficilement détectables. Et d'autre part le mal se transmet par l'eau potable et potentiellement par voie aérienne, et non par morsure comme dans un film de zombies classique.
Mais on reste tout de même proche du film de zombie moyen. Donc pas vraiment de surprise. On sent une volonté de faire un film plutôt réaliste et sérieux, d'ailleurs à mon souvenir il n'y a pas une seule note d'humour dans le film. Mais le côté crédible est un peu malmené par quelques trous scénaristiques de temps à autres.
Et au final, un peu de frustration quand même, car regarder un film de zombies sans zombies, sans humour, sans gore, ça enlève tout le côté fun de la chose.
@Chaussette J'ai rien contre les films de zombies en général. Mais là c'est un film de zombie sans zombies. Il manque un truc. Bon, comme d'habitude, le film est plus un prétexte pour montrer la folie des individus et des foules en situation de survie, et ici l'accent est mis sur la gestion inhumaine de la situation par l'armée qui tire à vue.
@Brome J'ai enchaîné hier soir avec The Empty Man (2020), un film basé sur une légende urbaine. Bon allez, je vous fais la vanne : on aurait pu appeler ce film The Empty Movie. 😛
C'est un film long (2h15) et lent où il ne se passe pas grand chose. On ne sait pas vraiment quelle est la menace dont on parle ici, on ne sait pas vraiment qui est cet "Empty Man", ce qu'il veut réellement, quelles sont ses propriétés, donc c'est dificile d'en avoir peur. On suit juste la longue enquête d'un ancien flic qui cherche à retrouver une jeune fille disparue.
Bon, à la fin il y a un twist, mais bon, tout ça pour ça ?
@Brome Et ce soir je continue avec The Gate (1987, Tibor Takács), un film assez connu et qui a eu son petit succès dans les vidéo-clubs, mais que je n'ai jamais vu. On y voit Stephen Dorff (le méchant vampire de Blade) et Louis Tripp (qui n'a pas joué dans grand chose d'autres à part The Gate 2) incarner des enfants qui trouvent un portail démoniaque au fond du jardin. #séance21h#filmsFR#Halloween
@Chaussette Pas mal ! C'est un bon petit film d'aventure fantastique, plutôt à destination des pré-ados, je dirais. Les effets spéciaux sont assez bien réalisés pour l'époque, y'a rien de honteux.
@Brome Quoi de mieux qu'un vendredi 13 en ce mois d'octobre, pour regarde Jason Goes to Hell: The Final Friday (1993), le neuvième volet de la série célèbre franchise Vendredi 13 ?
Ce soir pour ma #séance21h, ce sera Full Moon High (1981), un film de Larry Cohen avec Adam Arkin et son père Alan Arkin (dont le second prénom est Wolf, pour l'anecdote).
Ça parle bien sûr d'un élève de lycée qui se transforme en loup-garou. Oui, je sais, c'est exactement le Pitch de Teen Wolf (1985) avec Michael J. Fox, mais là on est 4 ans avant donc on ne peut pas accuser Full Moon High d'avoir copié !
C'est une comédie avec un humour loufoque et absurde, un peu dans le genre des films de Mel Brooks ou des ZAZ. Sauf que les gags ne sont ni vraiment drôles, ni vraiment filmés de façon drôle, sans compter que le film se repose beaucoup sur le jeu de son acteur principal, Adam Arkin, ce qui revient à peu près à faire reposer un échafaudage sur une bulle de savon.
@Brome Pour me remettre de mes émotions, j'ai enchaîné sur The Amityville Horreur (1979), le premier volet de la série de films Amityville, réalisé par Stuart Rosenberg qui a fait entre autres Cool Hand Luke avec Paul Newman et Brubaker avec Robert Redford.
Le film met en scène un couple de jeunes mariés et leurs enfants qui emménagent dans une maison maudite où ont eu lieu de multiples meurtres l'année précédente. Le mari est joué par James Brolin (le père de Josh, qui a revêtu le costume de Thanos dans les films Infinity War) et la mariée par Margot Kidder, qui sera toujours pour moi la Loïs Lane des vieux films Superman avec Christopher Reeves.
Le résultat est plutôt pas mal, la tension monte lentement tout le long du film. C'est une bonne surprise, car je me souviens avoir vu le deuxième volet de la série il y a très longtemps et l'avoir trouvé vraiment très bof. À noter que le scénario de ce premier Amityville est adapté d'un livre, lui-même tiré de faits soi-disant réels, puisque basé sur les interviews de l'auteur du livre avec la famille Lutz qui a emménagé dans la fameuse maison en 1975.
Ma #séance21h spéciale mois d'#Halloween de ce soir, c'était The Bay (2012), écrit et réalisé par Barry Levinson qui avait dirigé Tom Cruise et Dustin Hoffman dans Rain Man, donc pas n'importe qui quand même.
En revanche, pas de stars dans le cast, probablement pour accentuer le côté réaliste du film, puisqu'il s'agit d'un faux documentaire réalisé à partir d'interviews, de found footage, de caméras de sécurité, etc. Le film retrace à travers tous ces témoignages les événements qui ont décimé la population d'une petite ville côtière.
Virus ? Bactérie ? Parasite ? Des dizaines puis des centaines de personnes sont hospitalisées où meurent avant d'avoir pu l'être, leur chair rongée par un mal étrange. Ce faux documentaire se veut être un reportage d'activistes tentant de faire connaître la vérité sur la tragédie qui a frappé la ville avant d'être étouffée par les autorités.
Au final, tout ça est peut-être un peu trop calme. Je n'ai pas passé un mauvais moment, mais il manque peut-être un grain d'extravagance. Tout ça semble un peu trop réaliste, mais d'un autre côté c'est justement le fait qu'un tel scénario puisse se produire qui est peut-être le plus effrayant.
Hier soir j'ai vu Lake Placid (1999), un film qui a donné lieu à de nombreuses suites. Celui-ci est réalisé par Steve Miner, à qui on doit aussi des films pas terribles comme House, Warlock ou Friday the 13th 2 et 3.
Lake Placid est un film très étrange. C'est un film d'aventure, de comédie, de romance, avec parfois une petite touche de gore.
Bridget Fonda fricote avec Bill Pullman et Brendan Gleeson fricote avec Oliver Platt. Les personnages sont ultra-stéréotypés.
Ce qui est le plus curieux, pour moi, c'est la vision du "monstre" qu'offre le film, ici un énorme crocodile. Plutôt que de le montrer comme le mal absolu qu'il faut absolument abattre, il est vu ici plutôt comme un phénomène naturel. Dangereux certes, inattendu dans ce lieu géographique, mais considéré avec respect ou même affection par une part non négligeable des protagonistes. Curieux, mais intéressant.
Et ce soir je continue mon marathon #Halloween avec Janghwa, Hongryeon ("A Tale of Two Sisters", 2003), de Jee-woon Kim à qui on doit aussi l'excellent Ang-ma-reul bo-at-da ("I Saw the Devil", 2010).
Bon, j'ai pas aimé. C'est le genre de film un peu à la Shyamalan ou tu comprends rien et tu sais qu'on ne va te donner les clefs qu'à la fin. Next.
Après ça j'ai enchaîné sur Misery (1990). Réalisé par Rob Reiner à qui on doit non seulement des cartons comme The Wolf of Wall Street ou Sleepless in Seattle, mais aussi ce film au titre improbable qu'est Balance Maman hors du train.
J'ai passé un excellent moment à voir Kathy Bates martyriser James Caan. La tension est bien gérée et monte progressivement tout au long du film, les rebondissements sont assez classiques mais efficaces.
La suite d’Indiana Jones et la dernière croisade. Il n’y a rien après ça et ce serait bien d’en avoir une suite.
La suite de Valerian et la citée aux mille planètes. Je suis vraiment triste de la chute de l’empire Besson à la suite des réceptions de ce film. La réception du film est injuste. OK les acteurs sont clivants. Mais le film en lui-même est génial. Il y aurait pu avoir une bonne saga autour de cet univers. Malheureusement, les mauvaises finances de l’empire Besson ont tué tout espoir.
La suite de Valerian et la citée aux mille planètes. Je suis vraiment triste de la chute de l’empire Besson à la suite des réceptions de ce film. La réception du film est injuste. OK les acteurs sont clivants. Mais le film en lui-même est génial. Il y aurait pu avoir une bonne saga autour de cet univers. Malheureusement, les mauvaises finances de l’empire Besson ont tué tout espoir.
Tu me donnes envie de lui donner une chance. Je n’avais pas été convaincu à sa sortie, même si c’est vrai que visuellement ça avait l’air fou, surtout vu l’univers de la BD. Je vais regarder à ça
Je serais pas allé·e jusqu'à excellent, mais j'ai passé un bon moment en le regardant en tout cas.
C'est assez évident que Valerian est un peu ce que Besson aurait aimé que Le 5ème élément soit. Pourtant le nom qui me vient en tête quand je pense à Valerian, c'est Jupiter Ascending. Deux films assez ambitieux commercialement parlant mais qui ont fait un flop, visuellement magnifiques, mais avec un cast peut être un peu faible. Et des scénarios peut-être un peu trop orientés vers le divertissement mais sans réelle profondeur.
Je les ai tous les deux notés 3/5, mais à choisir, je crois que je préfèrerais revoir Valerian.
@Camus J'avoue que j'en ai tellement entendu du mal, et jamais de bien, que je n'ai jamais trouvé le courage de le regarder celui-là ! Donc je te crois sans mal. 😁
Rah la la, vous êtes en train de parler d'un de mes films préférés de quand j'étais jeune. J'étais tout de même allé·e le voir trois fois au ciné, avais acheté l'art-book et l'affiche du film...
Un ami maquettiste m'avait d'ailleurs offert pour mon anniversaire une maquette (de sa création) du vaisseau de Zorg. @Miamlechat@Brome
@Brome Plutôt que de faire confiance à ma mémoire (imparfaite et subjective), je suis allé·e fouiller mon classement Movielens en partant de la fin, et voici les 11 films de SF auxquels j'ai mis une note de 1/5 ou moins :
Highlander II: The Quickening (1991)
Paradox Alice (2012)
Star Wars I - The Phantom Menace (1999)
AVP: Alien Vs Predator (2004)
Nirvana (1997)
Godzilla (1998)
Fortress (1992)
Natural City (내츄럴 시티, 2003)
Doom (2005)
X-Men: The Last Stand (2006)
Doors (2021)
EDIT: j'ai changé l'ordre, car même si les 5 premiers avaient tous la même note de 0,5/5, Highlander II et Paradox Alice sont tout de même bien pires que Star Wars I, qui ne méritait pas de se trouver devant eux sur cette liste.
@kita59 Mmmmhh... le même tonton George qui s'est dit , en écrivant le scénario de SW I, "Tiens, et si je prenais une force étrange, magique et mystique, et si je lui donnais une explication scientifique comme par exemple une haute concentration de micro-organismes dans le sang ?"
@Prolernesto En fait en y repensant, et à Jean Reno équivalent, j'ai du mal à comprendre pourquoi j'ai beaucoup mieux noté le Rollerball de 2002 que le Godzilla de 1998. 🤔
Je crois que ça vaudrait le coup que je me les remate, au moins AVP, Godzilla et Doom.
40 km aller/retour en voiture, vive la campagne! J'apprécie de moins en moins les grosses productions prévisibles et le seul 'complexe' cinéma du coin ne propose rien d'autre.
Pour le reste c'est comme @Brome, le souci d'acarien en moins: plus envie d'être dérangée pendant la projection par les autres spectateurs.
Si nous habitions en ville et pouvions choisir des horaires peu fréquentés ce serait peut-être différent.
Je crois qu'il manque un N quelque part dans le titre. ;) Merci pour ton partage !
C'est marrant, je croyais que Hayao Miyazaki avait raccroché il y a 10 ans, après Kaze tachinu (Le Vent se lève), que j'avais trouvé bien mais pas top. Et pourtant j'adore l'aviation.
J'attends moi aussi avec intérêt de voir ce que va donner ce nouveau film.
sympa mais j’ai préféré la nuée. Les jeux d’acteurs sont bien, les réactions des personnages globalement crédibles. Par contre autant dans la nuée l’arrivé de la brume toxique est quelque chose d’incroyable qui arrive au départ et que l’on admet autant les pluies super acides ont un petit coté réaliste/plausible ET totalement incroyable qui empêche de se laisser porter par l’idée de base. On a toujours une petite voie qui nous dit, mais c’est pas possible son truc…
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