Je suis ravi(e) d'avoir l'opportunité de vous parler aujourd'hui sur le thème "IA et humanités". En tant qu'expert en intelligence artificielle (IA), je serais ravie de partager mes idées et perspectives sur comment cette technologie peut être appliquée aux domaines des humanités.
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Discours du maire, qui rappelle qu'on est dans le quartier de la Révolution française (Danton se réunissait là) et que l'IA est une nouvelle révolution.
Constance Bommelaer (Project Liberty, qui finance des projets de recherche à l'intersection sciences humaines et tech)
Alix Durand (ANSSI) sur les projets de recherche de l'agence « trois grands enjeux en cybersécurité, celle de l'IA, celle par l'IA, et celle face à l'IA »
Sur l'explicabilité, on a quand même quelqu'un dans la salle qui dit qu'il ne faut pas exiger des IA de l'explicabilité, un truc comme la reconnaissance faciale ne peut pas être explicable. Exiger l'explicabilité tuerait les utilisations de l'IA.
Géraldine Goffaux Callenaut : l'IA au service des humanités : repérer des sites archéologiques sur les photos satellites, déchiffrer des parchemins médiévaux illisibles, identifier les pièces de monnaie dans un trésor, repérer des ventes en ligne de trucs archéologiques volés, reconnaitre des œuvres https://play.google.com/store/apps/details?id=com.mobgen.smartify , etc.
Deux personnes mentionnent le relatif manque de contenus francophones dans les corpus d'entrainement des #LLM. Vu le pouvoir des ayant-droits en France, on peut parier que ce sera pire dans le futur, avec plein de restrictions à l'utilisation de ces textes pour servir à l'entrainement.
Ah non, la vraie fin, ce sont les étudiants d'un master de droit qui montent sur scène pour faire la synthèse de la journée.
(Il y a quelques bavures, comme de classer dans l'IA les moteurs de recherche et les réseaux sociaux. Comme souvent sur les sujets socio-techniques, si on ne connait pas la technique sous-jacente, on dit des bêtises.)