Le film est un presquel des 4 films Hunger game qui montrent le destin d'une jeune adolescente envoyée aux Hunger games, une sorte de jeu de gladiateur mis en place pour punir et humilier les provinces vaincues par un régime dictatoriale.
60 ans avant ces quatre premiers films, on verra comment ses jeux ont acquis une place politique importante
Pour celui avec "entorse", c'est juste parce que j'ai commencé à revoir plus de films au moment de mon entorse et je voulais pouvoir compter combien de film j'allais regarder le temps de récupérer mon genou. Au final, je l'utilise encore...
Après mes messages n'ont aucune prétention. C'était plus un exemple pour dire que le sujet ne semble pas passionner beaucoup de monde ici.
Avertissement aux amateurs du cinéma d'action HK, ne regardez pas Silent night de John Woo.
Il vous briserait le cœur ! 😪
Le dernier opus américain du réalisateur est une déception. A part, quelques plans isolés, son style inimitable de gunfight est absent que ce soit dans la démesure, l'outrance ou dans ses séquences alternant ralentis et plans plus brut.
Quand on a aimé Hardboiled, le Syndicat du crime 1 et 2, The killer ou Vole/face, la chute est dure.
Une jeune mannequin doit retourner vivre en Espagne pour aider sa grand-mère victime devenue impotente suite à une accident cardiaque. Sa grand-mère se met à se comporter de plus en plus bizarrement malgré sa léthargie.
Le film est bien joué, bien réalisé avec une (très) petite attention au corps âgé et malade qui est peu représenté me semble-t-il au cinéma finalement.
Un sympathique film d'animation français mélant polar et SF. Le film suit l'enquête de 2 privés dans un monde robotisé assez classique (la place des robot, la haine qu'il déchaine, leur autonomie et leur liberté, etc.)
Sans révolutionner le genre, le film à la bonne idée de plonger directement le spectateur dans l'histoire sans exposition, sans introduction trop explicite.
avec deux acteurs qu'on ne voit pas tant que ça il me semble Karim Leklou et Vimala Pons.
"Du jour au lendemain, Vincent est agressé à plusieurs reprises et sans raison par des gens qui tentent de le tuer. Son existence d'homme sans histoires en est bouleversée et, quand le phénomène s'amplifie, il n'a d'autre choix que de fuir et de changer son mode de vie"
Un tueur devient la cible de ses commendataires suite à un échec. Il remonte l'organisation jusqu'au client en tuant plus ou moins tout le monde
Un film mineur pour Fincher qui semble s'amuser à mettre en scène un tueur dans le mantra est le contrôle, la planification, la mesure, la mesure de soi (du temps de sommeil, du pouls, etc.) mais il le fait tellement sans dérision, au 1er degrés que je ne sais pas trop quoi en penser
Il s'inspire de l'Affaire Mortara : un petit garçon juif à Bologne qui était la ville des États pontificaux est enlevé par les autorités papales dans les 1850 car baptisé en secret par sa nourrice catholique. Il est ensuite élevé au sein des institutions catholiques pour devenir prêtre.
Dans la Brum, film franco-québécois réalisé par Daniel Roby, 2018
Merci wiki : "Un couple vit paisiblement à Paris avec sa fille qui est atteinte du syndrome de Stimberger [qui l'oblige à vivre dans un caisson stérile]. Un jour, une brume venant des égouts anéantit les passants. Ce phénomène inonde toute la capitale, la plupart des survivants se réfugiant aux derniers étages des bâtiments et sur les toits"
Merci Wiki (un peu retouché) : En pleine Guerre civile espagnole, un clown est recruté de force par les républicains. Capturé par les fascistes, il ne laissera à son fils Javier un gage de bonheur : la vengeance
Des années plus tard sous Franco, Javier est engagé dans un cirque dominé par le violent Sergio. Les 2 clowns vont se livrer une bataille mortelle pour le cœur d'une belle acrobate
Ce film a un côté téléfilm de luxe et manque singulièrement d'identité visuelle avec une image, un cadrage, etc. qui sont très génériques.
Après, sa grande force est la tendresse et la sympathique que Mélanie Laurent arrive à mettre dans ses personnages. Le duo qu'elle forme avec Adèle Exarchopoulos est ultra attachant jusqu'à cette humour nulle et ces évidences qu'on partage avec des proches.
J'avais été marqué par l'histoire d'amour, une forme de classicisme et le côté dramatique.
Mais à le revoir, je vois plutôt une forme d'orientalisme un peu facile, une romance un peu forcé avec un type qui commence à se comporter comme un petit connard et j'avais un souvenir trop précis du scénario et des scènes pour vraiment les redécouvrir.
Un jeune prisonnier, visiblement porté sur le sport et la baston, veut se ranger en sortant de prison, mais son passé le rattrape et en défendant il cause la mort d'un petit truand. En cavale en Thaïlande , il reconstruit sa vie, rencontre une femme, mais pour concrétiser un projet de bar avec elle, il doit traiter avec un bandit français immigré depuis des années dans le pays. 1/X
Après une tuerie perpétué par un sniper, une jeune patrouilleuse est intégrée à l'enquête sur demande de l'agent du FBI en charge de l'enquête. Celui-ci, ayant entendu l'analyse de la policière en salle de pause, pense qu'elle peut aider à comprendre le tueur. Les turpides, l'instabilité et les troubles de la jeune femme l'aideront à comprendre le tueur
Suzume sur le chemin de son lycée croise un jeune homme qui lui dit chercher une porte dans des ruines. Ne connaissant qu'un lieu abandonné, elle le lui indique.
Il se révèle un fermeur de porte qui doit empêcher un vers destructeur de provoquer des catastrophes.
La jeune fille finit par l'accompagner pour aider le voyageur dans sa tâche. Cela la conduira à se confronter à son passé et ses souffrances
Après qu'une jeune mère célibataire ait abonné son bébé dans la "boite à bébé" d'une église (qui permet d'abandonner anonymement son bébé sans le mettre en danger), elle s'aperçoit que 2 personnes de l'institution volent les enfants pour les revendre sur le marché noir de l'adoption. Elle décide de partir avec eux pour trouver la bonne famille à son enfant.
Après le succès de Blade 1, malgré son modeste budget, les producteurs cherchent à capitaliser sur le succès. L'idée d'un réalisateur plus renommé s'impose et c'est à del Toro que la réalisation est confiée.
L'histoire est simple et son dénouement ne surprendra pas beaucoup.
Autant Blade 1 se voulait sérieux, sombre et silencieux, autant ici, le ton est plus léger, bavard entre 2 scènes d'actions virevoltantes.
Trois hommes découvrent un petit avion écrasé en forêt. A côté du pilote mort, 4 millions de dollars.
Leur plan est simple : garder l'argent le temps que l'avion soit découvert que l'affaire se tasse et qu'ils soient sûr qu'il n'y ait plus de risque. Évidemment rien ne se passe comme prévu.
La trame principale déroule proprement, mais sans surprise, une histoire dont les rebondissements sont plus ou moins attendus.
Le réalisateur d'Adam's apple poursuit ses comédies dramatiques noires avec ce film de vengeance.
Mads Mikkelsen, qui collabore pour la troisième fois avec ce réalisateur, joue un ancien soldat traumatisé et taciturne qui va venger la mort de sa femme.
Bien entendu, avec ce réalisateur, il sera entouré d'un groupe haut en couleurs, de traumatisés, d'individus perdus, etc.
À 4 mois de sortir de prison, Adam,chef de gang néo-nazi, doit se réinsérer au près du pasteur Ivan. Il rejoint Khalid un braqueur arabe et un agresseur sexuel alcoolique. Le pasteur profondément croyant croit en la bonté humain et cherche à la protéger des assauts du malin
Sur un canevas qui pourrait donner un film social, Anders Thomas Jensen tire une comédie noire, parfois assez violente avec une touche de fantastique