Possible que je n'aie pas tout compris au fonctionnement de #mastodon (j'ai quitté tous les autres RS car je n'en pouvais plus de la méchanceté gratuite et du niveau de connerie, le tout baigné de xénophobie, de sexisme, d'intolérance crasse et j'en passe), mais...
Ici, mon #fil est très très vide, bien que je me sois abonnée à la plupart des intervenants sur la page #explorer... Je n'en trouve pas d'autres, et pourtant je vois que certains ont des milliers d'abonnés... donc c'est qu'il y a du monde !
Comment est-ce possible ?
Est-ce dû au cloisonnement des #serveurs ?
@Akapulka Y a aussi beaucoup d'instances qui ont masqué Piaille, pour modération insuffisante de leur part... C'est le cas de celle qui m'héberge, par exemple.
La visibilité de zéro est beaucoup moins simple ici que sur les autres RS en effet, dû au fait qu’il n’y est pas d’algorithme.
Il ne faut pas hésiter à utiliser des hastags comme tu le fais déjà.
S’abonner a des hashtag pour voir des contenus qui nous intéressent et pouvoir y répondre pour créer des interactions.
Ne pas hésiter à booster les posts des autres pour augmenter leur visibilité.
Ah et j’allais oublier le post avec le # Introduction et IntroductionFR pour présenter ses centres d’intérêts, ça aide pas mal à trouver ses premier·e·s abboné·e·s.
se débrouille sur des trucs intellectuels autant que manuels
gentille avec les gentils (travail d'équipe ok sauf si l'équipe est toxique)
idéaliste écolo-wokiste
intolérante au stress
allergique aux rapports de domination
préfère oeuvrer dans l'ombre
privilégie le temps à l'argent
souhaite un contrat de travail réglo et des attendus clairs (pas de bénévolat drapé dans un mauvais déguisement de "culture d'entreprise", avec tout le monde qui mange devant l'ordi et part à 19h au lieu de 17h, parceque "tu comprends ça se passe comme ça ici")
Je me sens pas bien, depuis des mois voire des années. Je joue les bons petits soldats, je vais bosser tous les matins, toujours fiable. Mais au fond, je baigne en permanence dans un jaccuzzi de cortisol. Vivre dans un monde concurrentiel, productiviste, capitaliste, ça ne me heurte pas que dans mes idéaux. Ça pénètre aussi ma chair, mon quotidien, mon réel. C'est contre ma nature, et mon corps me crie chaque matin que l'adaptation est illusoire. C'est un échec et je sais que j'y perds ma santé.