sur instagram je reçois une demande de suivi du petit copain de ma Grande Nuisance. Pourquoi, comment, dois-je demander à le suivre, que veut-il, est-ce une erreur, dois-je accepter, que se passe-t-il si je refuse, pourquoi on a inventé internet ???
Je demande assistance. Quelle est la procédure en pareil cas.
@juliegiovacchini@unamourdebeton
Du coup la réponse est toute trouvée : dis-lui que c'est à son père de se présenter à la Ruine en jaquette et gants beurre frais pour te demander pour lui l'autorisation de t'envoyer une invitation Instagram.
Pleinement en phase avec Firas. Oui l'indignation et la dénonciation sont légitimes.
Mais pourquoi tant d'oubli pour la population voisine ?
Je vais être aussi franc : cela tient à l'imaginaire politique des manifestants et de la nature des belligérants qui se font face.
Les manifs pro ukraine ce sont des ukrainiennes et des pro Europe convaincus, basta. Les manifs pro démocrates syriens : 12 pelés trois tondus sous la pluie.
« Quant à l’intelligence artificielle, il s’agit d’un dérivé de cette surveillance de masse. L’IA nécessite d'énormes quantités de données, elle en produit elle-même sous la forme de décisions, de résultats, de prédictions qui façonnent nos vies et nos opportunités… Et puis elle donne à ceux qui l’utilisent – les grandes entreprises, les gouvernements, votre employeur, les forces de l’ordre – les moyens de déterminer la place de chacun dans le monde. »
Bon par contre, j'aimerais vraiment que les gens arrêtent de dire "IA" pour parler de l'huile de serpent à base de LLMs, est-ce que je dis "crypto" pour parler de Bitcoins et NFTs moi hein non bon alors.
@unnameduser
Bah c'est un terme marketting pour populariser les cryptomonnaies et conforter l'idée que les bitcoins seraient sécurisés (en réalité c'est un paradis pour flics qui peuvent éplucher les transactions incriminantes) : je ne suis pas cryptologue mais si c'est moitié aussi énervant pour eux que "IA" l'est pour moi, ils doivent être hors d'eux.
« the camp of fascism Skeptics to which Steinmetz-Jenkins belongs has now arrived at propagating a position that is as implausible on substance as it is intellectually problematic. They are carelessly and/or deliberately obscuring the rightwing threat, even if that means advancing claims that lack factual evidence or ignoring radicalizing tendencies on the Right »
« both Paxton and Browning have reconsidered their positions. After January 6, Paxton declared that the assault on the Capitol “removes my objection to the fascist label.” Browning finally gave up his resistance in the summer of 2023, when he predicted a second Trump would constitute a “new kind of fascism.” »
« There are people – some with a large public platform – who incessantly use the term fascism while they have evidently no adequate understanding of what is happening on the Right; but there are also people who regard any mention of fascism as pure “alarmism” precisely because they have very little grasp of the Right’s past and present. Whether or not someone uses the label fascism is not the key question. What matters is the analysis underneath: Are we getting the diagnosis right? »
« there is no consensus definition of fascism – there are different definitions and approaches, plural. All are derived from studying the “original” or Ur-fascisms of Europe’s interwar period. (...) Fascism, as contemporaneous observers often remarked, always had an idiosyncratic quality to it, and fascist politics also developed – usually: radicalized – over time, rather than being a static phenomenon. »
« Les brûlots qui se multiplient envers les personnes trans et leurs droits ne font qu’attiser les vieilles peurs sur l’enfance, naguère entretenues plutôt à l’encontre des gays et des lesbiennes et aujourd’hui focalisées également envers une population encore méconnue du grand public, celle des personnes trans »
"Viser les enfants plutôt que les adultes transgenres permet aussi de court-circuiter le principe d’autonomie personnelle qui sous-tend l’acceptation théorique et le respect des personnes trans dans l’opinion et permet d’introduire une « nuance » qui n’en est pas une dans le discours transphobe : « nous respectons les choix de vie des adultes, mais un enfant n’est pas en capacité de choisir », dit en substance cet argument, partant du principe que l’on choisit d’être trans."
"La transidentité est un fait, les personnes transgenres ne sont pas dans une réalité parallèle, et le fait d’être trans n’est pas en soi porteur de souffrance : il n’y a donc aucune raison de vouloir les « soigner » ou de disqualifier leur parole – le raisonnement est exactement le même que pour l’homosexualité."
"Aujourd’hui, nombreux sont les conférences et forums internationaux permettant aux mouvements ultra-conservateurs d’échanger informations et ressources. Le Forum parlementaire européen pour les droits sexuels et reproductifs a ainsi identifié en 2021 54 acteurs anti-genre transnationaux actifs en Europe (représentant un investissement total de 96 millions de dollars américains en 2018, contre 22 millions de dollars américains en 2009, pour la seule Europe)."