Et j'entends, je vois, je lis les copines avec le leur, et jamais de la vie je supporte le quart du dixième (le quarantième donc) de ce qu'ils leur font subir ni des compromissions qu'ils les obligent à accepter.
Est-ce que je suis plus heureuse qu'elles? Certainement pas.
Mais au moins j'ai pas toute cette fatigue mentale là et cette tristesse du truc insoluble pour l'éternité. Je pourrais pas gérer ça, j'ai d'autres charges mentales, et d'autres tristesses d'insolubilité pour l'éternité, je suis à ras-bord je peux pas. Je peux plus. Y a une date de péremption pour ces conneries, clairement.
