Comme ça revient vite le stressotaff !!
La pause de 2 semaines aurait dû me regonfler à balle et en moins de 48 h, je sens déjà cette tension, le malobide, et le ralku de devoir recommencer des choses déjà faites mais cépucomsakifofaire vu que des burocrates en ont décidé autrement.
Je me demande si ça ne fait pas trop lgtps que je suis au même endroit 🤔
Ne pas être carriériste a ses limites. Quand on ne vibre plus, on a juste envie de se casser. Mais à 51 ans, c'est + problématique.
@Qi2Navet
Dis toi juste que cette faculté de partir voir ailleurs si l'herbe est plus verte est de moins en moins simple à activer avec le temps (en vrai l'herbe est rarement plus verte ailleurs, elle reste marron mais changer de marron peut être important).
Bref, plus on laisse passer les années après 50 balais, plus la décision de changement devient difficile, enfin c'est ce que je crois. C'est pas universel, plein de gens ont changé de boulot et tout recommencé par choix (càd non subi) après 50 ans, mais globalement, je pense que le déclic est plus difficile.
Ça ne veut pas dire qu'il faut partir, là, c'est juste avoir conscience de ça pour y réfléchir
@MadameMollette
Et puis cette flemme de recommencer à dépasser ma timidité, mes doutes sur mes capacités, de devoir me vendre alors que dans cette associé, on me prends comme je suis... J'ai passé l'âge.
C'est plus géographique mon problème, dans le fond. J'ai toujours considéré Poitiers comme une étape qui se prolonge beaucoup trop. Du coup, je projette ça sur mon boulot. Mais là, j'avoue que je ne m'attendais pas à une lassitude aussi rapide au 2ème jour de reprise 😅.
@MadameMollette@Qi2Navet fallait faire ça en 1986-1988 quand j'y étais quoi, j'aurais bien vu mon lycée de la bugellerie en Poitiers plage du coup...
😋
@Qi2Navet c’est compliqué quand tu es au chômage mais quand tu es en poste c’est différent. Et puis regarder ailleurs pour voir si un poste te convient ne t’engage à rien d’autre que prospecter.
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