À #Brest, la police nationale utilise le logiciel de vidéosurveillance algorithmique #Briefcam. L'impunité est telle qu'ils ne se cachent même plus : « Nos équipes techniques ont fait ce choix pour couvrir des besoins spécifiques et gagner du temps », explique tranquillement le sous-préfet de Brest, Jean-Philippe Setbon, qui assume s'en servir pour identifier et suivre des individus à travers des requêtes dans les rushs vidéos. https://archive.ph/Yettk
À #Brest, la police nationale utilise tranquillement le logiciel de vidéosurveillance algorithmique #Briefcam. L'impunité est telle qu'ils ne se cachent même plus. https://archive.ph/Yettk
🇩🇪#BriefCam-Skandal: Franz. Polizei soll seit '15 illegal biometrische Verhaltensüberwachung & #Gesichtserkennung nutzen. In der letzten #AIAct-Verhandlungsrunde am 6.12. muss #biometrischeMassenüberwachung verboten o gestrichen werden, statt sie durch Auflagen zu legitimieren!
Or, justement, le Conseil d'État vient d'annoncer, après quasiment deux ans de procédure, que l'audience de ce contentieux contre l'usage de #Briefcam à Moirans se tiendra mercredi 29 novembre, à 14h. Ce n'est peut-être pas un hasard de calendrier.
En effet, depuis les révélations de @disclose tout le monde parle de la VSA : la CNIL s'est saisie du scandale #Briefcam, des élu·es s'offusquent des mensonges de Darmanin et ce dernier fait de la communication de crise.
En parallèle, des associations comme le Syndicat de la Magistrature ou l'ADELICO tentent de faire suspendre en urgence #Briefcam dans les villes mentionnées par l'article de @disclose. Le TA de Caen a déjà demandé à l'intercommunalité de Cœur Côte Fleurie de supprimer les données.
À Nice, comme #Briefcam n'est plus utilisé par la ville, le TA a botté en touche en estimant qu'il n'avait pas à prendre de mesures d'urgence. Le maire, dans un incroyable moment de mauvaise foi, transforme cela en une « victoire » de la commune.
[#POLICENATIONALE - FR / #ISRAËL] La police nationale utilise illégalement un logiciel israélien de reconnaissance faciale
En 2015, les forces de l’ordre ont acquis, en secret, un logiciel d’analyse d’images de vidéosurveillance de la société israélienne #Briefcam. Depuis huit ans, le ministère de l’intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale.