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"L’ [accompagne] les et dans la conception et la fabrication de machines et de bâtiments adaptés à une . En remobilisant les et sur les choix techniques autour de l’outil de des , nous retrouvons collectivement une , une par la réappropriation des savoirs et des savoir-faire."

https://www.helloasso.com/associations/communs-paysans/evenements/l-atelier-paysan-fete-ses-15-ans

denih87, to random French
flaccide, to random French

A'z'y, signe et fais tourner !

lesamisdelaconf.org/2024/02/27…

Les paysannes et paysans installé·es en paysanne prouvent tous les jours, depuis des décennies, qu’il est possible de nourrir les citoyen·nes avec des produits de saison et de qualité, en préservant la santé et les milieux de vie, et en redonnant de l’attractivité au métier. Activité économique ancrée dans les territoires, l’ est rémunératrice, participe au dynamisme social des , et assure la alimentaire. Elle est pourtant ignorée par les politiques publiques.

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Des prédateurs naturels plutôt que des pesticides : une étude démontre l’efficacité du “biocontrôle” contre les nuisibles dans l’agriculture

Une étude brésilienne montre que les mécanismes naturels permettent aux agriculteurs·trices de réduire la « population de nuisibles » et d’améliorer les rendements.

Extrait :

Comment aider les agriculteurs à se passer des pesticides ? Pour certains, cela passe par le “biocontrôle”, c’est-à-dire favoriser la biodiversité et les mécanismes naturels. Une étude menée par des chercheurs brésiliens et américains, publiée le 6 mars, démontre justement à quel point les prédateurs naturels peuvent représenter une alternative aux pesticides (…).

Ces animaux vont s’attaquer aux pucerons et autres nuisibles qui ravagent les cultures. D’après les calculs effectués par des chercheurs brésiliens, ils permettent de réduire la population de nuisibles de 73% en moyenne. Ils entraînent également une augmentation des rendements des cultures de 25% : « Si on veut vraiment travailler dans l’intérêt de l’agriculteur, en termes de coût-bénéfices, c’est très clairement vers ces méthodes-là qu’il faut aller. Il faut essayer de gérer cette biodiversité fonctionnelle pour que les prédateurs naturels soient plus nombreux, qu’ils aient plus d’impact sur les bioagresseurs. On peut rajouter éventuellement des mélanges fleuris, des haies…»

Lire l’article : https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/biodiversite/agriculture-une-etude-demontre-l-efficacite-des-predateurs-naturels-comme-alternative-aux-pesticides_6410422.html

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Grande mobilisation paysanne et citoyenne à Paris !

La Confédération paysanne Île-de-France organise une grande mobilisation revendicative et festive le samedi 2 mars, place de la République à Paris avec le soutien d’une cinquantaine d’organisations de la société civile.

La plupart des agriculteurs qui se mobilisaient en France ces dernières semaines sont rentrés chez eux sans avoir obtenu de réponse. Ils demandaient un revenu décent, de la reconnaissance, la fin des accords de libre-échange.

En concertation avec l’agro-industrie, l’État leur a répondu « Circulez ! Rentrez chez vous ! Nous détricoterons plutôt les normes environnementales ».

Nous paysan·nes, vivons l’écologie au quotidien sur nos fermes et avec les citoyen·nes.

Nous ne demandons pas moins d’environnement, nous souhaitons plus de moyens et des décisions cohérentes pour engager la transition écologique de l’agriculture et l’arrêt de la fuite en avant désastreuse par de fausses solutions technologiques.

Paysannes, Paysans, Citoyens, Citoyennes, venez nombreux débattre, manger, revendiquer, festoyer avec nous le samedi 2 mars, place de la République à Paris, de 14h à 19h !

🚜 Programme détaillé :
https://ile-de-france.confederationpaysanne.fr/actu.php?id=14201

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Macron au salon de l’agriculture : fallait pas l’inviter !

Contrairement à ce que voudrait faire croire Emmanuel Macron et la FNSEA, les Soulèvements de la terre sont nés avec l’objectif de lutter pour la préservation d’une agriculture paysanne, contre l’artificialisation et l’accaparement des terres.

Nous ne sommes pas contre les agriculteurs, nous oeuvrons au contraire aux côtés d’une grande partie d’entre eux depuis nos débuts, pour que les ressources, les sols, l’eau soient protégés : c’est la condition sine qua non pour qu’une agriculture soit possible encore demain, et que de nombreuses personnes puissent vivre de la paysannerie.

L’Élysée a bien cherché à nous contacter via différents biais pour nous inviter à ce « grand débat ». Voici quelques clarifications sur notre positionnement et sur les dernières 48h.

Communiqué des SDT : https://lessoulevementsdelaterre.org/fr-fr/blog/macron-au-salon-de-lagriculture–fallait-pas-linviter-

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Agriculteurs et écolos : nous refusons d’être catalogués comme ennemis

Appel de plus de 50 organisations écologistes en soutien à la colère des agriculteurs ! 🚜 « Alors que le mouvement s’intensifie, nous appelons à rejoindre les mobilisations et refusons d’être catalogués comme ennemis des agriculteurs »

Extrait :

Depuis les tout débuts des mouvements écologistes, nous nous sommes toujours mobilisés avec détermination sur la question du modèle agricole et des conditions de travail et de vie des agriculteurs. Parce que nous savons l’importance considérable de l’agriculture sur l’environnement : ainsi la qualité de la terre, de l’air, de l’eau, de ce que nous mangeons, et bien sûr le climat, dépendent de ce que nous cultivons et élevons et de la manière dont nous le faisons.

Nous avons lutté contre les traités de libre-échange, pour la souveraineté alimentaire et pour que chaque pays – et chaque paysan·ne – puisse vivre de son agriculture et la faire vivre plutôt que de la soumettre à la concurrence internationale. Nous avons manifesté main dans la main avec les agriculteurs contre la grande braderie du monde paysan à la finance, contre le Tafta, le Ceta, le Mercosur, maintenant les traités de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande, le Chili et le Kenya soutenus par le gouvernement Macron.

Nous avons en tant que consommateurs et militant·e·s soutenu l’agriculture paysanne, créé et promu les Amaps, les circuits courts, l’agriculture bio, nous avons mis la main à la pâte jusqu’à mettre de l’épargne au service de nouvelles installation. Nous appelons depuis longtemps à ce qu’il y ait au moins un million de paysan·ne·s en France…

Note : il s’agit du texte publié par Libération hier… mais accessible uniquement aux abonné·e·s. Merci à Terres de luttes !

🚜 Texte intégral : https://terresdeluttes.fr/tribune-agriculteurs-et-ecolos-nous-refusons-detre-catalogues-comme-ennemis/

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La Confédération paysanne ne peut se satisfaire des annonces du gouvernement et poursuit la mobilisation

Extrait du communiqué :

Face aux difficultés exprimées par le monde agricole, les annonces du Premier ministre ce soir sont largement insuffisantes voire, pour certaines d’entre elles, totalement éloignées des réalités et de l’urgence d’agir sur le revenu paysan pour redonner des perspectives d’avenir à toutes les fermes (…).

Des mesures conjoncturelles, d’urgence et d’aides à la trésorerie ont été annoncées pour les agriculteurs et agricultrices impactées par la MHE, les tempêtes, les inondations et pour celles et ceux en agriculture biologique. Elles étaient indispensables, attendues depuis trop longtemps et revendiquées par la Confédération paysanne depuis le début de ces différentes crises.

Parce que nos revenus ne sont pas sécurisés par une interdiction d’achat de nos produits sous nos coûts de revient, ce sont des mesures structurelles que nous attendions avec des prix minimums garantis, de la régulation des marchés (…) et de la maîtrise des volumes. Au-delà du respect (enfin !) de la loi Egalim, aucune annonce aujourd’hui pour garantir des prix rémunérateurs pour nos produits agricoles, qui constituent pourtant l’enjeu principal (…).

Pire, le Premier ministre répond à des demandes productivistes et à court terme de la FNSEA qui vont affaiblir les normes et accélérer la mise en concurrence entre paysan·nes. Or la préoccupation première sur le terrain est bien de vivre dignement de son métier. La surcharge administrative doit être allégée sans que cela ne remette en cause les normes protectrices pour notre santé, nos droits sociaux et notre planète.

Texte intégral : https://www.confederationpaysanne.fr/rp_article.php?id=14113

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« La terre n’est pas un bien comme un autre »

À la faveur de la crise de l’agriculture française, des multinationales de l’agroalimentaire ou du cosmétique font depuis les années 2010 main basse sur des milliers d’hectares de terres. Échappant à la régulation du marché du foncier agricole, ces grands groupes développent à l’abri des regards une agriculture… sans agriculteurs. La journaliste Lucile Leclair a enquêté dans « Hold-up sur la terre » (Seuil, 2022) sur l’essor inquiétant de cette « agriculture de firme ».

Extrait :

Dans ces grandes exploitations qui appartiennent à des firmes, il n’y a pas d’agriculteurs indépendants, mais des ouvriers salariés. Qui fait le plan de culture ? Qui décide des rations alimentaires pour les animaux ? C’est le groupe. Cela acte la disparition du savoir-faire de l’agriculteur. Quand la ferme est gérée à distance, comme une entreprise lambda, il n’y a plus de lien entre le paysan et la terre, alors que c’est du vivant dont on parle là ! Il en résulte une standardisation des exploitations : on produit de manière industrielle, homogène. L’agriculture de firme, c’est une nouvelle étape dans l’histoire de l’industrialisation agricole. D’autant que ces exploitations sont immenses, car une entreprise qui dispose d’importants moyens financiers peut acquérir des hectares à l’infini.

📗 Lire l’entretien : https://www.socialter.fr/article/lucile-leclair-foncier-terre-bien-commun

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