Macron fait l'unanimité... contre lui: Netanyahou a refusé ses appels après que le président a critiqué le bombardement de civils à Gaza. Macron s'est fendu d'un humiliant mea culpa, réaffirmant le droit "inconditionnel" d'Israël à se défendre. Sa proposition de "cesser le feu" est fustigée par nos partenaires, dont le chancelier allemand Scholz: "Ce serait laisser le Hamas se rétablir". Génie diplomatique...
Macron reprend... Macron: le président dit désormais "soutenir sans équivoque Israël et (son) droit à l’autodéfense" après un appel à son homologue israélien, Isaac Herzog, fait savoir l'Elysée ce soir. Explication: Macron a rendu furieux Netanyahou en critiquant les bombardements de Tsahal sur les civils palestiniens sur la BBC... Une vraie girouette!
> Ce qu' #Al_Jazeera en anglais dévoile est essentiel, parce que la #chaîne#info du Qatar dispose de beaucoup de #journalistes à #Gaza, qui subit un #blocus journalistique de la part d' #Israël. […] un contre-récit puissant à la #propagande de guerre #israélienne. Et, dans sa version anglaise, elle ne représente pas un instrument manifeste de propagande […]
Depuis 2012, tous les morts pour la France qu’ils soient civils ou militaires sont honorés le 11 novembre, notamment nos soldats tombés en Opex. Pour ma part, avec ma double nationalité, j'ai une pensée pour à la fois mes ancêtres français et allemands engagés dans une Première guerre mondiale qu'ils n'ont pas voulu il y a 105 ans. Si vous passez devant un monument aux morts, une pensée pour eux...
Le campagne de dénigrement d'Amnesty continue. Sa secrétaire générale explique sur France Info que l'ONG qualifie les exactions du Hamas de "crimes de guerre" voire de "crimes contre l'Humanité" car le terrorisme n'existe pas en droit international et qu'elle est trop aisément instrumentalisée à des fins politiques. "C'est un mot de clarté pour le grand public", balance le journaliste. Honteux.
Une fois de plus, Dominique de #Villepin se démarque du discours ambiant de la classe politique majoritaire française et mondiale.
Invité de Franceinfo, il fustige la manière dont #Israël mène les représailles à #Gaza. Il parle de la #Cisjordanie et des #colonies. D'après lui, il doit être possible d'envisager un démantèlement de celles-ci.
Je suis moins effrayé par la blague (discutable) de Guillaume Meurice sur Netanyahou que par l'annulation de l'émission de Charline et de ses acolytes en public à cause de menaces à l'encontre de l'humoriste après son sketch. Le manque de réactions, y compris des artistes, me sidère...
Macron veut une "conférence humanitaire" sur la guerre entre Israël et le Hamas qui vire au massacre des Palestiniens, le 9 novembre à Paris, affirmant que "la lutte contre le terrorisme ne justifie pas de sacrifier des civils". Après avoir donné un blanc-seing à Netanyahou, quoi d’étonnant? Et une conférence avec qui? Les pays arabes nous détestent après notre « soutien inconditionnel » à Israel…
Il a osé le dire: "Il n'est pas du tout prévu d'envoyer à Gaza quelques militaires français que ce soit", répète Macron depuis le tarmac de l’aéroport du Caire. Le président, qui a proposé une coalition comme celle contre Daesh pour combattre le Hamas, fait l’unanimité… contre lui. Cette idée, soufflée par ses conseillers, a surpris le Quai d'Orsay et les chancelleries qui se sont affolées. Encore un succès diplomatique…
L’Elysée tempère les propos de Macron sur une coalition internationale contre le terrorisme: "Il s'agit de s'inspirer de l'expériences contre Daesh (...) cela implique aussi des formations, le partage d'informations entre partenaires et la lutte contre le financement du terrorisme". Comprendre, le président est allé un peu vite en besogne en déclarant la guerre au Hamas
Parti négocier la paix et l'arrêt de la colonisation en Cisjordanie en Israël, Macron propose à Netanyahou que la coalition contre l'Etat islamique "puisse lutter aussi contre le Hamas". Une alliance avec un gouvernement d'extrême-droite, c'est original...
Macron veut "rappeler la voix singulière" de la France au Proche-Orient, notamment la solution des deux Etats. Le président a un autre objectif, moins avouable, en Israël: "Il veut un succès diplomatique", confie un proche. Et d'énumérer les fiascos: "Le Liban s'enfonce, la Russie poursuit sa guerre en Ukraine, il a perdu le Niger, le Mali, le Sahel...". Le Nobel pour la paix, c'est pas gagné...
Macron en Israël pour quoi faire? Biden a déjà fait ouvrir un couloir humanitaire, les négociations pour les otages se font au Qatar... C'est d'ailleurs l'un des principaux objectifs du président. Arrivé à 6h30 heure française, Macron va rencontrer les familles de victimes du Hamas dans un salon, situé dans un terminal de l'aéroport de Tel-Aviv Ben Gourion. Il doit ensuite rencontrer Netanyahou pour une discussion bilatérale.
Arrêtez tout, Macron a trouvé LA solution pour résoudre le conflit israélo-palestinien: "Le président va appeler à la paix avec création d'un Etat palestinien" et à "l'arrêt de la colonisation" en Cisjordanie, déclare l'Elysée. Soit la position de la France depuis 50 ans... Le palais a tenu à clarifier auprès des journalistes que l'arrêt de la colonisation israélienne n'est pas l'objectif principal du voyage de Macron. Lumineux...
« Une chronique de la Seconde Guerre mondiale à travers le regard et les mots de trois reporters américaines, qui accompagnèrent la progression des troupes alliées en Europe : Lee Miller, Martha Gellhorn et Margaret Bourke-White. »
D'après l'AFP, le gouvernement italien (d'extrême-droite), par la voix de son chef de la diplomatie, critique l'interdiction faite en France contre les manifestations en soutien aux Palestiniens.
Ce qui est marrant, c'est de se souvenir qu'il y a quelques mois, selon pas mal de médias, Macron manœuvrait en sous-main pour essayer d'obtenir le prix Nobel de la paix. Bin, c'est pas pour demain.
Macron demande à Israël de "respecter le droit international "à Gaza. L'Elysée fait savoir que le président a (encore) appelé Netanyahu pour l'enjoindre "d'épargner les civils". Déjà 2000 morts côté Palestinien dont 700 gamins, et "Bibi" parade en gilet pare-balles avant l'offensive...
Dans le Financial Times, un diplomate de l'UE parle d'un « nettoyage ethnique massif » possiblement en cours à Gaza. Ce n'est pas un militant radical qui dit ça, hein. C'est un diplomate de l'Union Européenne (UE qui soutient toujours Israël à cette heure).