Le "Nouvel Obs" a révélé que Rachida Dati avait perçu 300 000 euros d'un homme d'affaires du milieu de l'énergie, alors qu'elle était députée européenne. Le magazine a aussi retrouvé plusieurs de ses "mystérieux" échanges avec Renault-Nissan. En réponse, la ministre de la Culture a déposé plainte pour diffamation. Aucune de ces informations n'a fait les gros titres de la presse. Pour "Arrêt sur images", la rédaction du "Nouvel Obs" détaille les chefs d'accusations. Détail qui n'en est pas un : Rachida Dati ne conteste pas les faits, mais leur formulation.
Article intéressant de Mediapart (abonnement) qui montre que le racisme passe aussi par la discrimination au niveau des cheveux et que si ça peut faire rigoler entre blanc·he·s, pour les afro-descendant·e·s c'est une vraie violence #Racisme#RevueDePouet
Manifestement, quand on est un organisme public, on a le droit de s’asseoir sur le RGPD, comme le montre la fuite massive de données chez France Travail.
Vladimir Poutine et Benyamin Nétanyahou ont le même but de guerre : la fin du droit international et l’avènement d’un monde sans autre loi que la force. Dès lors, soutenir la guerre d’Israël à Gaza, c’est offrir à la Russie sa victoire en Europe.
Là encore c'est sur abonnement, mais en revanche l'interview d'Edwy Plenel sur Backseat https://www.youtube.com/watch?v=9XJwMD2BfOw est en accès libre et il en parle aussi à un moment (parmi beaucoup d'autres choses, c'est une longue interview)
Le groupe Avril, présidé par le patron de la FNSEA, carbure aux frais de l’État (Mediapart, abonnement)
L’entreprise d’Arnaud Rousseau est devenue leader sur le marché des « biocarburants ». Son or jaune, c’est le colza. La société a prospéré grâce à une réglementation sur mesure et à un important rabais fiscal.
UnUn délégué syndical de Grenoble qui ne cesse d’alerter son rectorat sur le programme d’une formation à l’éducation à la sexualité selon les valeurs de l’Église. En Normandie, un professeur d’un lycée catholique sous contrat qui a été formé à une théorie issue d’un mouvement sectaire. Ou encore, des enseignant·es qui se disent révolté·es par une journée de sensibilisation à la dysphorie de genre, organisée par d’anciens membres de La Manif pour tous.
Si à la mi-janvier la tempête déclenchée par l’affaire Oudéa-Castéra a mis en lumière les problèmes de justice sociale soulevée par l’enseignement privé sous contrat, l’opacité de son financement mais aussi ses atteintes à la laïcité, un sujet reste peu abordé : la formation des enseignant·es du privé.