"Lorsque nous examinons les mouvements contemporains de défense des droits civiques, nous voyons la police qualifier ces actions de violentes pour avoir endommagé des biens ou résisté à l'arrestation. Les blessures subies par les firmes ou la police sont enregistrées et punies comme des pertes, tandis que la perte de vie subie par les personnes noires, le meurtre par la police et la perte de liberté et de sécurité des manifestant·es sont traitées comme n'ayant pas d'importance."
"Le drag met en scène et soutient des formes de féminité qui servent principalement les intérêts patriarcaux."
"Le drag met en scène et rend explicites des rituels de genre banals et quotidiens et, par cette répétition d'actions genrées, suggère que les présomptions essentialistes sur les genres corrects ou authentiques peuvent être retravaillées (Butler, 1990, p.338) ; la vue d'une personne avec des organes génitaux masculins reproduisant la féminité rend apparents les mécanismes sociaux de l'oppression de genre, de sorte qu'un public peut en voir les rouages."
Choisir d'apparaître comme une "femme" alors que l'on est un homme est toujours considéré comme une perte, comme un choix qui ne mérite que le ridicule" (hooks, 1992, p.145).
Vu l'attitude du gouvernement et son incapacité à faire montre de la moindre #autorité à l'égard de la #police, j'ai un peu de mal à comprendre comment les choses peuvent s'améliorer :( Manifestement, ils sont nombreux à être en roue libre (parlons en de la perte de repères...) et la défiance des citoyens vis a vis d'elle risque de se creuser plus encore.
Macron me donne l'impression d'être un président très démuni. Un homme de blabla et de posture .
« La leçon que j’en tire, c’est un : l’ordre, l’ordre, l’ordre. La deuxième, c’est que notre pays a besoin d’un retour de l’autorité à chaque niveau et d’abord dans la famille »