Des étudiant•es de l' #EHESS menacé•es de poursuites par les services antiterroristes.
"Convoqué.es par les services de lutte contre le terrorisme, on les accuse d’apologie du terrorisme pour avoir publiquement soutenu le peuple palestinien dans sa lutte de libération nationale. Cela les expose à des peines de prison, ainsi qu’à une inscription au fichier des auteurs de crimes terroristes, tout cela pour des positions politiques en totale conformité avec le droit international."
Alors que des milliers de ressortissants franco-israéliens commettent actuellement des crimes de guerre dans les rangs de #Tsahal, l'arsenal antiterroriste est une fois de plus utilisé contre des membres de notre camp social.
L'ensauvagement actuel de la bourgeoise française ne connait plus de limites morales et laisse présager un avenir bien sombre à l'heure du réarmement de l'État français et de la guerre sociale menée contre les pauvres.
L'antiterrorisme français est mis à profit d'entreprises ayant collaboré avec #DAESH ( #Lafarge ), ou à des régimes autoritaires menant actuellement des massacres de masse tels que la #Turquie d'Erdogan au #Rojava ou l' #Israel de Netanyahou en #Palestine.
#Solidarité avec les camarades de Solidaires EHESS.
Ils sont quelques-uns à ne pas s'émouvoir des civils hommes, femmes et enfants tués. Les chiffres que l'on avance seraient toujours surévalués. Mais à partir de quand vous trouverez ça "trop" ? Quel nombre vous fera demander un cessez-le Feu ? #Gaza#Israel#Tsahal#Palestiniens
#Palestine. La profanation des tombes à #Gaza, l’autre visage d’une guerre sans nom
Alors que les combats font rage autour de la ville de Khan Younès, dans le sud de Gaza, les cimetières ne sont pas épargnés, raconte le site “The Electronic Intifada”, des sépultures ayant été détruites par #Tsahal, selon des proches de personnes défuntes, qui déplorent une volonté d’effacement d’un peuple.
2024 : quel Proche-Orient ? Le dessous des cartes
La guerre #Israël#Hamas a passé le cap des cent jours. Les combats se poursuivent entre le Hamas et #Tsahal mais aucune issue ne semble se dessiner.Peut-on craindre une régionalisation du conflit ?
La dernière occupation du Sud-Liban par Israël a permis au Hezbollah de passer pour un mouvement de libération nationale.
La participation du Hezbollah aux crimes du plus récent Assad l'a discrédité : l'opinion publique arabe le tient pour terroriste.
L'offensive qu'Israël démarre au Sud-Liban est l'occasion pour le Hezbollah de tenter de retrouver une réputation de #résistance.
«Les Israéliens vivent dans un film, ils n'ont aucune idée de ce que nous avons laissé derrière nous à Gaza et de ce que l'on dit de nous dans le monde»—Uri Misgav
Après le conflit, «nous serons plus que jamais lépreux, haïs et persécutés», insiste le journaliste dans éditorial pour #Haaretz.
Selon lui, la population évolue «dans une bulle hermétique conçue par le correspondant militaire de Channel 12 et par #Tsahal», et n'a donc qu'une perception éloignée de la réalité.
Les commandants et les soldats qui se battent à Gaza parlent de destructions sans précédent, d'absence totale de retenue qu'ils ont connue par le passé
Citant un correspondant du New York Times, Uri Misgav soutient que «le mot '#Gaza' entrera dans les annales de l'histoire comme le mot "Dresde"».
«Comment battre nos ennemis sans devenir comme eux ? Nous avons totalement échoué dans ce domaine et le prix à payer sera douloureux.»
Trois otages tués «par erreur» par Tsahal dans la bande de Gaza. Ça donne une bonne idée des "règles" d'engagement de l'armée israélienne.
Pour les otages, pour les civils Palestiniens #CessezLeFeu ! #Gaza#Tsahal#Otages
Autant, il n'y a aucune excuse pour les terroristes du Hamas qui ont kidnappé des enfants quasiment au berceau et des grands mères de très grands âges, autant le récit des otages ayant peu à boire et encore moins à manger n'est pas à mettre sur le compte des geôliers comme le font les commentateurs des médias parce que ce sont 800 000 enfants de #Gaza qui ont été privés d'eau et de nourriture par décision de #Netanyahu et de #Tsahal
“The Israeli army says Hamas’ military infrastructure is based amid Gaza City’s hospitals and neighborhoods, and that it has set up its main command center in and under the largest hospital, Shifa — claims the militant group and Shifa staff deny.”
Lorsqu'on donne à une armée, quelle qu'elle soit, un petit surnom sympa, le cerveau fait le reste : il associe à cette armée des connotations "sympas".
En 14/18, L'armée française était composée de "Piou-pious".
Apres, c'était "les boys" pour qualifier l'armée coloniale US, c'est mignon les boys, on ne les imagine pas faire des trucs cradingues.
Aujourd'hui c'est "Tsahal'.
Bien qu'il s'agisse d'un acronyme qui ne signifie rien d'autre que "forces de défense d'Israël", chaque fois qu'un chroniqueur ou qu'un chien de garde des médias prononce ce mot, "Tsahal", ça suscite une appréciation le plus souvent positive dans nos cerveaux.
Un peu comme un chien féroce qu'on appellerait Kiki.
Si on ne voit pas le profil de Kiki, quand on entend juste son nom, à priori, on imagine Kiki sympatoche.
Les mots ont un sens, les sobriquets et les surnoms aussi.
L'armée israélienne devrait être mentionnée comme "L'armée israelienne".
Point.
Terrible phrase qui vient de me traverser l'esprit !!!
"Quelle différence entre la division SS Das Reich qui a détruit #Oradour sur Glane et #Tsahal qui va raser la bande de #Gaza ?
La légitimité internationale.
Et pourquoi après cette pensée morbide je pleure en pensant à #Auchwitz ?
Hier, des soldats israéliens ont tué des citoyens israéliens : "Trois hommes de 25, 26 et 28 ans ont été « identifiés » par l’armée israélienne « comme une menace » alors qu'ils se trouvaient dans une zone de combat du nord de la bande de Gaza."