Il est grand avec un nez plat et une tête presque triangulaire. #triangle
Oui, je sais je manque encore plus d'inspiration pour les hashtag que les photos.
couleur
Il est brun avec des tâches oranges à la base de la tête.
Serpent 2
Il est plus petit et sur l'autre serpent. Sa tête est plus ronde.
Couleur
Pas de différence avec le grand serpent.
Au fait : Si on ajoute la mention de la commu en édite, la publi ne fédiversera pas. @testfediverse
Inforea, une chaine qui vise à aéduire la quantité de déchets électroniques en réparant et augmenter l'aide aux écoles et associations, est actuellement en live sur Twitch
Avec plaisir! N’hésite pas à venir parler de ta chaîne sur jlai.lu/c/technologie, ça intéressera sûrement pas mal de monde! La communauté compte à ce genre 230 membres.
Et si tu veux brasser plus large, tu peux aussi passer sur jlai.lu/c/france, qui compte 1580 membres
“Well, Congressman, I view our responsibility as not just building services that people like to use, but making sure that those services are also good for people and good for society overall.” — Mark Zuckerberg, 2018
In the previous two posts in this series, I did a long but briskly paced early history of Meta and the internet in Myanmar—and the hateful and dehumanizing speech that came with it—and then looked at what an outside-the-company view could reveal about Meta’s role in the genocide of the Rohingya in 2016 and 2017.
In this post, I’ll look at what two whistleblowers and a crucial newspaper investigation reveal about what was happening inside Meta at the time. Specifically, the disclosed information:
gives us a quantitative view of Meta’s content moderation performance—which, in turn, highlights a deceptive PR move routine Meta uses when questioned about moderation;
clarifies what Meta knew about the effects of its algorithmic recommendations systems; and
reveals a parasitic takeover of the Facebook platform by covert influence campaigns around the world—including in Myanmar.
Before we get into that, a brief personal note. There are few ways to be in the world that I enjoy less than “breathless conspiratorial.” That rhetorical mode muddies the water when people most need clarity and generates an emotional charge that works against effective decision-making. I really don’t like it. So it’s been unnerving to synthesize a lot of mostly public information and come up with results that wouldn’t look completely out of place in one of those overwrought threads.
I don’t know what to do with that except to be forthright but not dramatic, and to treat my readers’ endocrine systems with respect by avoiding needless flourishes. But the story is just rough and many people in it do bad things. (You can read my meta-post about terminology and sourcing if you want to see me agonize over the minutiae.)
Content warnings for the post: The whole series is about genocide and hate speech. There are no graphic descriptions or images, and this post includes no slurs or specific examples of hateful and inciting messages, but still. (And there’s a fairly unpleasant photograph of a spider at about the 40% mark.)
Ce post n'a pas de conclusion et n'est pas un essais. C'est un partage d'expérience, d'un ressentit en tant que utilisateur et modo sur jlai.lu :)
En relisant les anciens posts du blog de #Framasoft j'y trouve un certain écho. En tant qu'ancien utilisataire de Reddit, j'avoue que la tentation est forte de vouloir attirer d'avantage de redditaires. Je me retrouve un peu dans ce rôle de prophète (militant libriste) car j'associe les réseaux sociaux capitalistes à du tabagisme passif et de l'exploitation forcé des CGU. Donc, oui je fais chier tout le monde pour la bonne cause. L'enfer est pavé de bonnes intentions.
C'est difficile de cultiver un certain détachement, d'imaginer autre chose que Reddit surtout quand Lemmy ressemble à tout point à Reddit. Ya meme des posts qui ont repris mot pour mot les post publiés sur r/france. J'avoue ça fait bizarre. Est ce que le design du logiciel induit des comportements qu'on va retrouver à une certaine échelle ? Ou est ce que ça dit des choses sur nous-même dans nos interactions sociales et donc explique pourquoi on va utiliser ce réseau social et pas un autre ? Je ne sais pas.
En tout cas, Reddit comme Lemmy et Kbin, sont des agrégateurs de liens classés par thèmes, catégories comme un forum. Visuellement, on peut choisir notre fil d'actu par thématique sans suivre des personnes. Cela se démarque complètement de Firefish, Mastodon où c'est un peu le bordel mais gobalement tu es connecté à des personnes qui pensent à peu près comme toi et vont poster toute sorte de contenu sans forcément le classer sauf s'iel mettent un hashtag/filtres.
Et pour retrouver quelque chose sur mastodon, c'est galère. Il y a quelque chose de l'ordre de l'éphémère, de l'instant. Sur Lemmy, on peut ouvrir des mégafils intemporel qui sont réactivés à chaque fois qu'on commentera dessus car ce sera au premier plan, selon vos paramêtre d'affichage du fil.
En tout cas, pour revenir à ma réflexion, à mes pensées sous la douche, aux liens que nous cultivons avec Reddit, nous nous sommes exprimés sur le sujet du vote qui influence le classement des posts et nos comportements en tant que postaires. On l'a gardé comme tel. On pourrait très bien le retirer et amorcer une rupture. C'est cette voie qu'a choisie Beehaw, une instance de Lemmy. Et d'après certain utilisataires, cela a bel et bien un impact sur nos interactions.
On se cherche une identité et je crois qu'on fait une erreur : on aimerait que ce soit comme avant. Je sais pas si la comparaison avec nos ex, la reconstruction lors d'une rupture amoureuse est foireuse mais j'y vois un parallèle pertinent. Nous devrions oublier twitter, reddit, facebook et trouver notre propre ligne éditoriale sur Jlai.lu, ou peut-être pas ?
Finalement, le plus important, est ce que jlai.lu vous plait ? :)
Il y a quelque sjours de ça j'avais évoqué la possibilité de faire un post qui ne soit PAS, pour une fois, sombre ou fataliste. Donc voilà, en vrac et dans le désordre le plus complet :)
J'ai lu - ou écouté - récemment :
Neverwhere, de Neil Gaiman. Un beau roman fantastique qui se déroule dans et SOUS Londres, celui « d'en-bas » étant une réflexion déliquescente / steampunk (j'ai trouvé) de la ville « du dessus » et dans laquelle la magie existe. Au début j'ai cru que ça pourrait faire un beau livre pour enfants / ados mais les scènes de violence ou de torture qui parsèment l'histoire leurs donneraient de somptueux cauchemars. Je n'ai pas trouvé ça aussi violent que American Gods, du même auteur, mais ça en fait tout de même un ouvrage pour public adulte averti.
La bande dessinée « Si les hommes avaient leurs règles » que j'ai trouvée géniale ! Ce sont de petits récits fictifs qui se succèdent, chacun dans un contexte historique différent, montrant comment le fait de saigner une fois par mois serait valorisé si ça arrivait aux hommes. Mention spéciale à la créativité des rédacteurs de la version alternative du Vieux Testament.
Depuis que j'ai découvert la littérature fantastique et la SF au collège, je suis rebutée par la littérature « classique ». Les romans m'ennuient absolument, la poésie m'endort, les biographies de barbent, etc. Avec les années ça s'arrange un peu et il m'arrive parfois de lire des choses comme Don Quichotte ou, ces dernières semaines, Voyage au bout de la nuit, de Céline. Dont j'ai beaucoup apprécié jusqu'à hier le style et la verve quand il parle du sordide des protagonistes. Et puis je suis allée voir la page Wikipédia du monsieur… Qui était un infect personnage, à minima haineux, antisémite, raciste, homophobe et misogyne. La nausée ! Il me restait 100 pages à lire, je ne sais pas si je vais y arriver.
Un recueil de nouvelles de Vernor Vinge, un grand nom de la SF dont j'ignorais jusqu'ici l'existence. Pas mal pour des productions des années 60 à 80 qui ne sont pas vraiment celles mes romans favoris, sauf peut-être pour le Cat's Craddle de Kurt Vonnegut. Ou la Sprawl Trilogy de WIlliam Gibson. Ou… Bon d'accord, elles sont pas mal ces années-là finalement :)
Le dernier numéro papier du magazine Causette qui passe en 100 % numérique pour cause de réductions de coûts. Snif, comment je vais le prêter aux copines maintenant ?
Dan Flynn, joueur de didgeridoo virtuose et peut-être un peu barré. Son morceau intitulé Space Caravan est juste incroyable.
Altin Gün, groupe de psych-rock Turque originaire des Pays-Bas. Sur le papier ça ressemble à un assemblage tiré au sort mais ça sonne plutôt bien, je ne savais pas que j'aimais ce style de musique.
J'ai regardé :
Quelques minutes de films auxquels je n'ai pas accroché, "Childhood's end" par exemple qui assassine joliment d'après moi le roman dont il a été adapté. Passons,
Quelques films que j'ai bien aimé, j'essaierai de vous en parler une prochaine fois,
Les dernières vidéos de Nicolas Bras, multi-instrumentiste qui fabrique ses instruments avec des matériaux de récup' ou des objets auxquels on ne s'attend pas.
Les dernières vidéos de la chaîne Boneless Archélologie dont la propriétaire (l'animatrice ? L'hôte ?) vulgarise extrêmement bien ce domaine. En même temps c'est son métier. Et j'ai p'têt aussi un petit crush pour elle ÇA ARRIVE À TOUT LE MONDE.
J'ai goûté :
Les boulettes de lentilles. Finalement ce n'est pas mal du tout :)
Ouf ! Voilà, mission accomplie. Bonne fin de semaine tout le monde !