Metz : Un #policier qui frappait sa femme et ses enfants relaxé en appel
"Pour la cour, il s’agit seulement d’un « grave et sérieux conflit de l’exercice de l’autorité parentale »"
On parle d'étranglements, coups et brimades envers les enfants et de viols envers l'ex-épouse.
"« C’est un très mauvais message qu’envoie la justice française pour décourager les femmes de policiers et leurs enfants à porter plainte. Ça dit aux autres : n’essayez même pas ! »"
@Shibanarchiste@hermod pour une fois qu'il y a un fonctionnaire sérieux qui amène du travail à la maison je vous trouve un peu durs, vous risquez de décourager les vocations
I. Le "droit de correction" reconnu par la Cour d'appel
Les enfants ont reconnu avoir subi des sévices, brimades et autres punitions "mais consécutifs à des bêtises qu’ils ont pu faire, des désobéissances ou des retards exagérés dans l’exécution de certaines consignes paternelles ou des réprimandes liées au travail scolaire"
La réaction de la Cour d'appel me sidère. Quand on tient à bien éduquer ses enfants, on ne le fait pas dans la peur ni la violence. ⤵️
Tout ce que ça va laisser chez ces enfants devenus plus grands sont de larges séquelles et traumatismes pouvant entraîner des troubles psychiques sévères. Et pire, conduire les enfants à reproduire le même schéma une fois adultes/parents.
II. Couverture de l'Unsa-Police et viols de l'ex-épouse d'Yves Milla
Le patron d'Unsa-Police, en plus d'avoir témoigné en la faveur de son meilleur ami, a permis d'étouffer une enquête administrative qui visait Milla.
Pourquoi ? Car l'ex-épouse a été violée à plusieurs reprises par d'autres agents, sous le regard approbateur d'Yves Milla.
@jor J'imagine trop l'idéologie répressive et ultra-réac de lae juge qui a rendu la décision : frapper ses enfants c'est les éduquer, le viol entre époux n'existe pas... pure mentalité de juriste des années 70/2000
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