Niet omdat het een symbool voor #nationalisme is, niet omdat ik vind dat ons land nu zo’n gaaf land is, niet omdat ik hier geboren ben.
Ik hang déze vlag uit omdat het de vlag is die mijn opa zelf in elkaar gezet heeft als symbool voor de vrijheid, nadat hij teruggekeerd was uit #Duitsland waar hij tewerkgesteld was (oh ironie, hij moest daar Engelse sleutels maken) en waar hij na de oorlog nog weken/maanden als tolk opgetreden heeft.
«Attention, la saison de la chasse aux étudiants #anglophones est ouverte ! Quoi de mieux pour faire oublier les ratés de la #CAQ qui s’est calée elle-même en ressuscitant le troisième lien après sa défaite cuisante à l’élection complémentaire dans #JeanTalon?»
Michèle #Sibony : Les pressions occidentales sur l’Egypte pour qu’elle accepte d’ouvrir un « corridor humanitaire » vers le Sinaï, confirment une vision commune avec #israël."
"Il y a toujours d’autres choix. Ce qui est typique de la politique d’Israël, c’est de détruire les autres options pour prétendre ensuite n’avoir pas d’autre choix que de bombarder. Israël a détruit le mouvement national palestinien, et a reçu le Hamas en retour. Au Liban, Israël a détruit le mouvement Amal, et a reçu le Hezbollah en retour. À chaque fois, Israël a fait en sorte de détruire les organisations prêtes à conclure un compromis historique pour se retrouver en face-à-face avec des ennemis à bombarder.
Un imaginaire récurrent en Israël est de se vivre comme une « villa dans la jungle » : une jungle qu’il faudrait régulièrement tondre. Les commentateurs et les militaires promettent une fois de plus qu’une victoire finale et totale est à leur portée, et qu’ils pourront alors repartir sur une table rase. Il n’est donc pas étonnant qu’il soit aujourd’hui si difficile d’imaginer des alternatives politiques aux meurtres : ce que la politique de poursuite de l’occupation et d’élimination des alternatives a provoqué est précisément le désespoir et un sentiment omniprésent de ne pas avoir le choix. Ceux qui hésitent aujourd’hui à appeler à l’arrêt de la guerre – comme si ce qui s’est passé jusqu’à présent n’était pas assez horrible – devraient au moins réfléchir aux conséquences réelles à long terme ; à ce dont les gens se souviendront, à la façon dont la vengeance engendre la vengeance sanglante."
"Dès décembre 2012, M. Netanyahou avait déclaré à l'éminent journaliste israélien Dan Margalit qu'il était important de maintenir le Hamas fort, en tant que contrepoids à l'Autorité palestinienne en Cisjordanie.
"Dans une interview, M. Margalit a déclaré que M. Netanyahou lui avait dit que le fait d'avoir deux rivaux forts, dont le Hamas, réduirait la pression exercée sur lui pour qu'il négocie en vue de la création d'un État palestinien."
"Des valises pleines d'argent
"Lors d'une réunion du cabinet en 2018, les assistants de M. Netanyahou ont présenté un nouveau plan : Chaque mois, le gouvernement qatari verserait des millions de dollars en espèces directement aux habitant·es de Gaza dans le cadre d'un accord de cessez-le-feu avec le Hamas.
"Le Shin Bet, le service de sécurité intérieure du pays, contrôlerait la liste des bénéficiaires, chaque famille étant approuvée par le gouvernement israélien, selon d'anciens responsables israéliens et étatsuniens.
[…] Des valises remplies d'argent liquide ont rapidement commencé à franchir la frontière avec Gaza.
"Chaque mois, des responsables de la sécurité israélienne rencontraient Mohammed al-Emadi, un diplomate qatari, à la frontière entre Israël et la Jordanie. De là, ils le conduisaient au poste frontière de Kerem Shalom puis dans Gaza.
"Au début, M. Emadi a apporté avec lui 15 millions de dollars à distribuer, 100 dollars étant remis à des endroits désignés à chaque famille approuvée par le gouvernement israélien, selon d'anciens responsables israéliens et étatsuniens.
"Pendant des années, le gouvernement qatari a envoyé des millions de dollars par mois dans la bande de Gaza - de l'argent qui a aidé à soutenir le gouvernement du Hamas. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu n'a pas seulement toléré ces paiements, il les avait encouragés.
"Lors de ses rencontres en septembre avec les responsables qataris, selon plusieurs personnes au fait des discussions secrètes, le chef du Mossad, David Barnea, s'est vu poser une question qui n'avait pas été inscrite à l'ordre du jour : Israël voulait-il que les paiements se poursuivent ?
"Le gouvernement de M. Netanyahou ayant récemment décidé de poursuivre cette politique, M. Barnea a répondu par l'affirmative. Le gouvernement israélien continuait d'accueillir favorablement l'argent de Doha".