Avec un lien vers la #thèse de Pauline Hosotte sur l' #évaporationDuTrafic#routier :
"Tout comme une nouvelle infrastructure routière peut augmenter la circulation, la suppression d’une infrastructure routière peut diminuer la circulation au-delà, dans les 2 cas, des prévisions habituellement calculés… la vitesse d’implémentation de la
perturbation elle-même semble avoir un impact" (+ lent→+ durable)
#HelloESR !
Je suis doctorant en géographie à Luxembourg (#LISER) et Bruxelles (#VUB).
🚌 🎫 Je travaille sur les politiques tarifaires dans les #TransportsEnCommun, en particulier la #gratuité.
👨✈️ Je m'intéresse notamment à leurs impacts sur le rôle et le travail des personnels des transports et sur le maintien de l'ordre public (dans les transports aussi).
Ici, je parle et booste un peu politique, recherche, transports publics... en français et en anglais.
> « La raison pour laquelle la plupart des transports publics sont considérés comme "en déficit" est précisément parce qu'ils font payer les trajets. Si l'on ne fait pas payer les trajets, ils ne peuvent plus être "en déficit". Ils ne font que coûter de l'argent, tout comme les routes. »
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> Ce commentaire isolé m'a donné mon nouvel argument favori en faveur de la suppression des titres de transport dans les transports publics.
100% OK sur le constat de base – la "rentabilité" n'est pas la différence entre recettes en titres de transport moins coûts – par contre, quitte à mettre plus d'argent il vaut mieux le mettre sur un développement des réseaux, tant en quantitatif (nombre de lignes) que qualitatif (fréquences, confort).
D'abord pour améliorer le quotidien de ceux qui les prennent, ensuite pour convaincre des automobilistes de changer de mode.