WerkstattGeschichte, to history German
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Heute vor 75 Jahren kam "Jour de fête" (Tatis Schützenfest) von & mit als radelnder Postbote François in ins !

Dazu ein Lektürevorschlag aus unserem :
➡️ Kerstin Neuroth, Französisches Nationalbewusstsein nach dem Zweiten Weltkrieg. Affirmation und Subversion in Jacques Tatis Jour de fête, in: 47/2008, https://werkstattgeschichte.de/alle_ausgaben/bilder-von-koerpern/

@histodons @historikerinnen

FoucPerotin, to Cinema
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Trois films maudits + Isabelle Huppert parle de Heaven’s Gate

Parmi ceux qu’on appelle parfois des films de chevet, parce qu’on y revient souvent (et de préférence en salle – revoir des films sur sa télé, c’est pas pareil) il y a une catégorie, ce sont les « films maudits », des grands films (pas seulement pour moi, bien sûr) devenus plus ou moins « cultes », et qui furent des échecs à leur sortie. Cette combinaison échec puis culte tient à plusieurs facteurs. Il y a l’effet d’opposition à la mode de l’époque où le film sort, et puis il y a aussi le regard du public, ou au moins d’une partie du public, qui évolue, qui devient capable de mieux comprendre, de ressentir certains films, de les lire.

Trop d’images merdiques nuisent à la qualité du regard, mais dans le même temps, il y a aussi une éducation du regard pour toute une partie des spectateurs, une cinéphilie qui avance, et je suis convaincu que beaucoup de gens lisent bien mieux les films, certains films, que ce ne fut le cas. L’ampleur et la beauté de quelques films maudits peut être devenue pour nous une évidence, alors que ce n’était le cas pour presque personne au moment de leur sortie. On ne doit pas ça au côté moutonnier du culte à ces films mais, j’en suis convaincu, aux progrès du regard des spectateurs, d’une partie d’entre eux en tout cas.

Dans mes films de chevet, il y a trois grands films maudits : Playtime de Jacques Tati, Ryan’s Dauhter de David Lean et Heaven’s Gate de Michael Cimino.

Playtime, c’est un peu à part. C’est un problème de grammaire filmique (il se passe plusieurs choses à la fois dans le même plan, et aucune n’est soulignée), avec son prolongement dans le scénario (le personnage de Hulot est dilué au milieu de plein d’autres histoires, sans compter les « faux Hulot » qui abondent) qui ont dérouté les spectateurs, qui rendaient le film illisible par beaucoup, alors qu’il est d’une richesse, d’un foisonnement incroyables. Trop moderne ! trop avancé ! trop exigeant pour les spectateurs. Je crois que les enfants avaient moins de mal à le lire que les adultes – je l’ai vu à huit ou neuf ans, et j’étais bien moins critique que ma mère, qui était très déçue.

Ryan’s Dauhter (1971) et Heaven’s Gate (1980) sont deux grands films « classiques », si l’on peut le dire comme ça. En tout cas deux films longs et amples, et avec « de belles images ». Ryan’s Dauhter c’est un hommage à l’expressionnisme dans le cinéma muet allemand, par ses effets souvent, avec aussi des séquences entières sans dialogue, et un travail sur l’image parfois quasi expérimental. Mais ces images magnifiques et travaillées par un orfèvre, tournées en 70 mm, ça tombe au moment de l’attrait pour un cinéma tourné avec des caméras légères, sans décors, allégé des pesanteurs, ce qui a donné des choses formidables d’ailleurs (pour moi : entre 1967 et 1974, ce sont des années bénies pour quelque chose de mystérieux, seulement dans ces années, qui renouvelle l’idée de ce que le cinéma peut dire des relations entre les gens). Je crois que c’est l’opposition à la mode du temps qui plombe le film, qui a engendré son échec.

Pour Heaven’s Gate, je ne vais rien vous dire de plus, et vous conseiller seulement de passer une demi-heure avec Isabelle Huppert qui parle du film, dans un sujet réalisé pour TCM. Je viens de revoir cette vidéo, qui j’avais déjà postée sur Twitter il y a plusieurs années. Tant d’intelligence, de finesse et de sensibilité pour parler du tournage et de sa participation, mais aussi du film, et du contexte dans lequel il fut si mal reçu, je trouve ça magnifique ! Isabelle Huppert n’est pas seulement une grande comédienne, c’est aussi, par son intelligence, sa culture et sa sensibilité, une femme admirable. Elle m’épate à un point, t’imagines pas. Offrez-vous cette demi-heure ! vous ne la regretterez pas.

PariaSansPortefeuille, to Cinema French
@PariaSansPortefeuille@jasette.facil.services avatar

" is not only a rare filmmaker, the director of few films (which all happen to be good); he is a living point of reference. [..] Since the beginning of sound film, only Chaplin has had the same privilege, that sovereignty of being present even when he wasn’t filming and, when he was filming, of being exactly on time, which is to say just a little early."

on the of

https://newleftreview.org/sidecar/posts/in-praise-of-tati

kathimmel, (edited ) to art
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turns out, my output wasn't entirely wretched...so, i collaged a few of them.

kathimmel, to art
@kathimmel@mstdn.social avatar

: 'i want the film to start when you leave the auditorium.' 'mon oncle', the first of jacques tati's films to be released in colour, is a visual & emotional treat - plus, as tati (born in 1907) loved & recognised their innate sense of humour, he gave them starring roles in the film. once wrapped, jacques ensured that they were all adopted by placing an advert that highlighted their celebrity status. every dog was soon scooped up into a loving home.

digital ink illustration i drew of the great, french film director, jacques tati. he looks askance as he walks jauntily, rolled newspaper in his right hand. in uppercase letters, 'tati' tries to escape from the paper. there are indications of clouds beneath his feet.

kathimmel,
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IngridHbn, to Cinema Dutch
@IngridHbn@mastodon.online avatar

Jacques Tati - Playtime (1967)
Drugstore, all is green.

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IngridHbn, to movies Dutch
@IngridHbn@mastodon.online avatar

🎥

Nice photo of the Rue Charcot showing the temporary structures built for the film.
The building to the right is the old café upon which will be built Hulot's false skylight structure.

Submitted by Frédéric Viau-Davodeau.
(via my FB group I'd like to be part of the Mr Hulot universe, even as a cardboard cut out)

(1/2)

IngridHbn,
@IngridHbn@mastodon.online avatar

The extra roof above the café building which held the false skylight for Mr Hulot to stick his head out of. (see still, pic 2)


(2/2)

IngridHbn,
@IngridHbn@mastodon.online avatar

Mr Hulot's holiday.
Please watch this awesome comedy.

Another Frédéric Viau-Davodeau on set picture find.

Filming the scene of the old couple going for a walk at night. It looks like the boat from the opening credits is lying in the foreground. Note the small child running up the stairs to the left. The movie must have seemed a magical time for the local kids and young actors.

IngridHbn, to random Dutch
@IngridHbn@mastodon.online avatar

Trivia: vele honden hadden een rol in de film die vanavond speelt op … Mon Oncle.

Waaronder een Dachshund.

Tati plaatste na de film een advertentie in Le Monde en ze werden allemaal geadopteerd. 🫶🏻
(Lees meer in het artikel)

https://screenanarchy.com/amp/2010/01/tati-his-dogs.html

IngridHbn, to Brussels Dutch
@IngridHbn@mastodon.online avatar

C’est fanTAsTIque …
I changed my noticeboard today; there was only room for Tati postcards 🎬🎥

(www.plaizier.be)

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