« Après les Etats-Unis, en pointe dans le mouvement, des étudiants occupent des établissements dans plusieurs pays européens, demandant l’arrêt des bombardements israéliens à #Gaza et un désinvestissement de leur université dans des institutions d’enseignement supérieur en #Israël. »
« [C]omme l’écrivait il y a plus de vingt ans l’historien anglo-américain Tony Judt, #Israël apparait aux #ManifestantsÉtudiants comme «un anachronisme», un État d’un autre temps, à la fois ethniciste et colonial, l’un des derniers de la planète. C’est pour ce motif qu’ils s’insurgent contre ce qu’il advient à #Gaza. »
« Le moment qui va s’écrire est celui d’une nouvelle fracture mondiale des opinions. Elle sera plus profonde que jamais auparavant depuis la fin de la deuxième guerre mondiale ou des guerres décoloniales. [..] Tel est l’effet de l’horreur que soulève en chacun le spectacle du génocide filmé en temps réel par ceux qui le subissent. » - #JeanLucMélenchon
« La véritable occupation des universités, c’est par la classe politique, au mépris de l’autonomie et de la liberté scientifique, s’étrangle Jean-François Bayart, chercheur au CERI de Sciences Po [..] Il y a une captation politique et une déconnexion des faits. »
« Les étudiants de la #Sorbonne occupent ce lundi la célèbre université parisienne pour dénoncer le #GénocideÀGaza. Après les campus de Sciences Po, du Havre et de Poitiers : un pôle de résistance et de solidarité se dessine. »
«Et si, au fond, les jeunesses occidentales parvenaient à mettre en crise, par les mobilisations sur les campus, la muraille de fer militaire et diplomatique forgée par les États-Unis de Joe #Biden et le Premier ministre israélien?»