NickEast, to DadBin
@NickEast@geekdom.social avatar

This book has been on my TBR-list for a long time, but it just jumped to the top! 😂

@philosophy @reading @memes


DavidCamus, to random French
@DavidCamus@imaginair.es avatar

Au cours d’une promenade à Levallois, je tombe sur ceci (voir photo). Ça fait toujours plaisir de voir ce type de lieux porter le nom de mon grand-père.

Merci merci ❤️❤️❤️

DavidCamus, to random French
@DavidCamus@imaginair.es avatar

Howard, Camus et Lovecraft : un ami m’envoie cette photo de livres dans une librairie à l aéroport de Minneapolis.
Ce n’est pas la première fois que je vois mon grand-père à côté de Lovecraft.
Déjà, en 2018, lors de mon séjour à Providence, j’étais entré dans une librairie de livres d’occasion dont j’avais entendu l’appel pour y trouver côte à côte « The Outsider », de Camus, et « The Outsider and other stories », de Lovecraft.
Étonnant non ? Ou pas. (Pas.)

MrBerard, to random
@MrBerard@pilote.me avatar
kierkegaank, (edited ) to Frenchies
@kierkegaank@mastodon.sdf.org avatar

on mastodon - in relation to ’ l’etranger, what is the semantic difference between maman and mère?

Does it translate at all to English?

Edit: Apparently the most recent translation uses the french word maman, and there is an article in the new yorker on the subtleties

Toxic_Flange, to writing

Ok, this is pretty funny.
From Josh Gauthier (@JG_Writer on twits)
Let's try this. Give me the opening line of a book, but add "and then the dragons arrived."

In the beginning, the universe was created, and then the dragons arrived. This has made a lot of people very angry, and been widely regarded as a bad move.

chestas,
@chestas@aus.social avatar

@Toxic_Flange

Mother died today and then the dragons arrived.

lukaso666, to random Polish
@lukaso666@chaos.social avatar

🎧📻

Albert Camus: Caligula. Šílenství, tyranie a smrt v moderní tragédii francouzského existencialisty...

🌐 https://www.mujrozhlas.cz/sobotni-drama/albert-camus-caligula-silenstvi-tyranie-smrt-v-moderni-tragedii-francouzskeho

FabrysBesson, to random French
@FabrysBesson@imaginair.es avatar

Je profite d'un voyage en train pour re-découvrir "L'affaire Charles Dexter Ward", traduit par @DavidCamus.
Ce roman, en poche "J'ai lu" je crois, m'avait marqué au point d'être mon préféré durant de longues années.
La préface de David est déjà un régal. Il nous partage le contexte de l'écriture de cette œuvre et nous permet d'en appréhender la lecture avec des éléments de compréhension qui, jusque-là, m'étaient totalement étrangers.

DavidCamus,
@DavidCamus@imaginair.es avatar

@VieilOgre @FabrysBesson @oliviersaraja @leonardbertos mais d’autres l’ont fait, et c’était assez drôle : genre Ptiluc avec « La Peste » (cf. illustration).

DavidCamus, to random French
@DavidCamus@imaginair.es avatar

Teasing ! Teasing ! Teasing !

Allez, poursuite du teasing sur mon prochain roman (“Le Pays qui descend”), qui sort ce jeudi dans toutes les bonnes librairies de France et de Navarre.

Je partage avec vous la seconde partie de mon itw pour Lisez.com (pour rappel, j’avais partagé la première ici il n’y a pas longtemps). Voici :

  1. Et vos personnages principaux, qui sont-ils ?

Difficile d’en parler ici sans dévoiler l’intrigue. Je préfère donc dire qu’il s’agit de « Li », une jeune fille de 15 ans solitaire, la fille d’une « Un » et d’un « Biais », et d’autres personnes avec lesquelles elle se liera au cours de son vogage. Mention spéciale, tout de même, à Maître Babackas, le maître de Descente de « Cent-Maisons (Et Pas Une De Plus) », qui enseigne à ses élèves l’art de la descente (« Descendre n’est pas tomber ! Tomber, même une pierre peut le faire ! ») et leur demande de réfléchir à cette question : « Que faut-il pour bien descendre ? »

  1. Qu’espérez-vous que les lecteurs retiennent de votre livre ?

Du plaisir. Du plaisir. Du plaisir. Et peut être aussi que même si la vie est dure, le bonheur est possible.

  1. Le Pays qui descend est le premier tome d’une duologie. Que nous réserve la suite des aventures de Li ?

Là aussi, je préfère ne rien dévoiler. Je me contenterai donc de donner le titre du tome 2 : « La Terre qui monte ». Je pense qu’il parle pour lui même !

N’hésitez pas à repoueter !!

DavidCamus, (edited ) to random French
@DavidCamus@imaginair.es avatar

Et puisqu’on est dans les teasers, je partage avec vous la première de mes réponses à la mini interview à laquelle j’ai répondu pour Lisez.com. Voici :

  1. Parlez-nous de votre roman… À quoi peut-on s'attendre et comment vous est venue l'idée ?

« Le Pays qui descend » raconte le voyage de Li, une jeune fille de quinze ans, chassée de chez elle et contrainte de dévaler la montagne que son peuple essaie de descendre depuis d’innombrables générations, afin d’atteindre « Tout en Bas Tout en Bas », là où même l’eau se repose.

C’est un monde très dur. Un monde en pente, où parfois des villages entiers se décrochent des parois où ils vivent et s’écrasent dans le Vide. Dans ce monde, on adore le Très Bas et les parents souhaitent à leurs enfant de « tomber bien bas », quand viendra l’âge de la Descente - vers 18-20 ans. En effet, il n’y a qu’une seule règle dans ce monde en pente : « Toujours descendras, jamais ne remonteras. » Il revient à chacun d’essayer de rapprocher son peuple de « Tout en Bas Tout en Bas », même si personne ne sait s’il existe.

Il s’agit donc d’un voyage - avec tout ce que ce terme implique d’aventures, de périls, de découvertes sur soi et sur le monde.

L’idée d’un monde en pente où l’on est obligés de descendre pour atteindre un hypothétique « Tout en Bas Tout en Bas » où même l’eau se repose m’est venue il y a de nombreuses années : mes premiers synopsis datent de 2001, mais je n’ai cessé de les reprendre et de les développer, pour aboutir finalement à un premier jet du « Pays qui descend » en juillet 2013. Je sais que cette idée vient d’une vision que j’ai eue dans la rue, en décembre 1989, lorsque, jeune étudiant, j’ai cru voir se dessiner devant moi deux pentes : l’une qui descendait, l’autre qui montait - et que j’ai décidé de suivre celle qui montait. Ce n’était pas la voie la plus simple, mais elle m’était alors apparue comme la seule possible.

(Edit : tag.)

VannaBlack, to Stoicism
@VannaBlack@sfba.social avatar
HistoPol, to random
@HistoPol@mastodon.social avatar

"Mitten im Winter lernte ich endlich, dass es in mir einen unbesiegbaren Sommer gab."

Albert ,

Der Sommer, "Rückkehr nach Tipasa", 1952

GW, to Israel
@GW@newsie.social avatar

No Easy Amid Horrific Bloodshed in and

“When violence answers violence in a growing frenzy that makes the simple language of reason impossible, the role of the intellectual cannot be... to excuse from a distance one of the violences and condemn the other... that role is clarify definitions in order to disintoxicate minds and to calm fanaticisms, even when this is against the current tendency.” –Albert , “Preface to Algerian Reports” (1958)

https://www.commondreams.org/opinion/reflections-on-israel-hamas-war

paavokassi, to random Finnish
apodoxus, to philosophy
@apodoxus@mastodon.online avatar

@philosophy

“Between this sky and the faces turned toward it there is nothing on which to hang a mythology, a literature, an ethic, or a religion—only stones, flesh, stars, and those truths the hand can touch”

in Nuptials.

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