Share: Republicans in the House, esp. the Speaker, #MAGAMike, oppose Americans' safety net, financial gains & well-being, & legitimize corruption & #greedflation:
"The House GOP govt funding bill makes it harder to file your taxes, enables auto dealers to cheat consumers, raises credit card late fees, facilitates money laundering & tax evasion..."
-M Stoller
The #Australia government is not a household or a business, they are the monopoly issuer of our #currency.
Any #surplus they achieve is necessarily money they could have spent on things we need, but chose not to. That's bad.
Do we want a government that taxes more money than they spend?
I don't. I want a government that identifies what needs doing, and spends whatever money required to achieve that.
And taxes based on which parties or activities should not have as much money as they extracted from the economy. Not a fiction of taxation "to spend on" something else.
The federal government should not have a "balanced #budget", they don't have any need to "find the money" anywhere, they issue as much #AustralianDollar as they choose to at any time.
That's what a federal spending bill does: The money now exists. It didn't "come from" anywhere. Stop waiting for taxation!
Remember, a surplus in a government budget means they've FAILED to spend on social and public goods - the things that build a society and lift people up.
Is your #school and/or #district facing the #ESSER cliff combined with other downward #budget pressure? We could be facing a pivotal moment in #education as the landscape faces remarkable forces for/of change, across #technology ( not just but including #AI of course, with #HCI and #cybersecurity ) and cultural shifts, politics generally, social-emotional development in Society, and so much more ... Here is the thing. It's going to work out. But put on your seatbelt, it might get a little bumpy.
Macron préfère s'auto-congratuler du "plein emploi" atteint grâce à sa politique, selon lui, ce que répète la Macronie sur tous les tons: "Le président préfère miser sur le taux d'activité", martèle un député Renaissance. Et tant pis pour la transition écologique, l'éducation, la culture...
Macron a passé un savon à Attal pour avoir annoncé un projet de taxation des "rentes". Le président, "ulcéré" par la tournure du débat sur le déficit public, lui a interdit à lui et à ses ministres de prononcer ce mot, relate Le Point. Il ne faudrait pas s'aliéner ces meilleurs soutiens...
Macron jurait qu'il maîtriserait le budget des JO de Paris. En réalité, la facture frôle déjà les 9 milliards d'euros et pourrait s'envoler bien au-delà, selon l'AFP. Le budget initial des Jeux était de... 3,8 milliards d’euros, comme ceux de Tokyo dont la facture avait explosé. Ça promet!
Comme promis, Macron dément toute engueulade avec Bruno Le Maire (je vous en parlait ce matin): "Vous plaisantez? Il n'y a pas de désaccord dans la République française (...) ce n'est pas la façon dont on travaille depuis sept ans avec le ministre", déclare crânement le président devant les caméras et les micros alors que l'Elysée a fait fuiter ses "colères" toute la semaine. Ce culot...
Macron serait tellement agacé par annonces de Bruno Le Maire qu'il ne le prendrait plus au téléphone selon Le Point: Le ministre est soupçonné de "chercher la rupture" avec le président en critiquant la droite: "Il veut faire tomber le gouvernement par une motion de censure ce qui lui épargnerait de démissionner". On savait Macron peu passionné par les finances publiques mais pas au point de ne plus adresser la parole à son ministre.
Attal annonce une mission sur la taxation des rentes pour calmer la grogne dans la majorité (en particulier chez les macronistes issus de la gauche et le MoDem) après le refus de Macron de taxer les super-riches. Un moyen d’enterrer le débat? « Il n’aurait pas nommé Nadia Hai et Mattei sur le sujet si tel était le cas, ce sont de grandes gueules », confie un député. À suivre…
Voters out in the "fly over" states who want to buy trucks and tractors that they depend on to do their jobs should be hounding their Congressional Representatives to support opening the port of Baltimore.
Anyone who buys anything from Europe, should also realize that closing the largest port on the east coast of the nation is not going to help their family budget.
Entre deux tournées promotionnelles pour ses bouquins, Bruno Le Maire agace (encore) au sommet de l'Etat et notamment Matignon avec des annonces sur le budget jugées "anxiogènes": "Il surjoue sa stature de "sage" mais déjà que les Français ont un petit moral et que la croissance est en berne, il faut aussi donner de l'espoir", juge un conseiller. De toute façon, pour l'instant, le numéro 2 du gouvernement est intouchable...
Bruno Le Maire rame pour expliquer le "dérapage" du déficit public: des recettes de TVA "moins dynamiques" (-4 milliards d'euros) et une baisse des "recettes liées au travail", les cotisations salariales et l'impôts sur le revenu (-8 milliards). Traduction, les plus pauvres sont encore plus pauvres malgré le (léger) recul de l'inflation. Qui aurait pu prédire?
C'est la foire à la saucisse pour réduire le déficit public. Dernière trouvaille de Bruno Le Maire, sucrer les cotisations patronales et salariales et augmenter la TVA: une vieille lune de la droite qui suscite une levée de bouclier... à Bercy, considérant que la mesure enfoncerait les plus modestes...
Le couperet est tombé: le déficit de l'Etat grimpe à 5,5% du PIB selon l'Insee, bien au-delà des prévisions officielles du gouvernement qui tablait sur 4,9%, comme s'en vantaient Bruno Le Maire et Macron. Encore un coup de maître de notre Mozart de la finance... Le "tour de vis" promis par l'exécutif, qui refuse obstinément d'augmenter les impôts, promet d'être sanglant...
Cazenave "dément catégoriquement" tout "projet de réforme, de suppression ou de rabot sur les APL ce matin sur France Info. Je ne sais pas d’où cette information est venue", s'indigne notre ministre du budget. Simple, de l'un de ses collègues qui déclare dans Paris Match: "Les APL ne servent à rien (...) ça nous coûte 14 milliards d’euros par an. Et cet argent va dans la poche des propriétaires". On appelle ça un ballon d'essai...
Qui va payer la note du déficit? La majorité se déchire sur la question: Yaël Braun-Pivet et d'autres plaident pour recourir à l'impôt mais Macron ne veut pas en entendre parler, à l'image du député RE Mathieu Lefèvre: "Il faut écarter la tentation de Venise d’une hausse d’impôt. Quand on commence par taxer les milliardaires, ça finit toujours par retomber sur les classes moyennes, assure l'élu au Figaro. Le "ruissellement" qui n'arrive jamais...
Macron s'attend au pire concernant le montant du déficit pour 2023 dont l'Insee doit envoyer une estimation lundi soir prochain: "Ce ne sera pas bon", euphémise un conseiller. Sans compter une potentielle dégradation de la note de la dette souveraine de la France qui constituerait un camouflet personnel: "L'image du banquier d'affaire en prendrait un coup, grince un ancien conseiller. C'est sa crédibilité qui est en jeu". Du moins, ce qu'il en reste.