Le FMI explose les prévisions de déficit public du gouvernement, l'organisation table sur 4,5 % du PIB en 2027 contre... 2,9 % pour Bruno Le Maire. Nouveau coup de massue après le Haut Conseil des finances publiques selon lequel les prévisions de Bercy manquent de "crédibilité" et le scepticisme des agences de notation.
File this under the heading economics is not even a dismal science, because mainstream economics isn’t even science. Economics could actually be a rigorous discipline, if orthodoxy can be kicked out.
“ In contrast to its attitude to private debt, which it ignores, mainstream economics obsesses about government debt. But this volte-face doesn't besmirch its record of being 100% wrong.”
#SocialSecurity can only pay benefits if it has sufficient revenue to pay its costs. That is why it doesn't contribute even a penny to the #deficit. If #Trump succeeds in slashing that dedicated revenue so that it is no longer sufficient to fully cover the cost, it will result in an automatic #benefitReduction. This would happen without any #Republicans having to vote for the cuts, or Trump having to sign them into law.
inI the last three decades, #Republicans have skyrocketed the #deficit with trillions in #taxCuts for billionaires and big corporations, always with the same result: the top 1% benefits while nothing "trickles down" for workers. And if #Trump is allowed to return to the #WhiteHouse, they're planning to go even further.
"Before we discuss raising taxes on the poor & middle class, adding $1 trillion to the deficit, taking health insurance away from 13 million, raising premiums by 10%, defending treason and swearing in a pedophile, let's begin with a prayer."
~Jack Ziegler, TNY
Finances publiques: les mauvaises recettes du gouvernement
Plombé par la baisse des recettes fiscales, le #déficit public dérape. Mais au lieu de taxer davantage les #riches et les superprofits pour équilibrer les comptes de l’État, le gouvernement s’obstine à couper dans le modèle social et les services publics.
Le récit de la peur de la dette sert la destruction de l’État social
L’annonce d’un #déficit public plus élevé que prévu a intensifié le discours lancé voici quelques semaines sur la menace de la #dette. Ce récit a pour principale fonction de justifier l’austérité future en préservant les transferts vers le secteur privé.
Bruno Le Maire rame pour expliquer le "dérapage" du déficit public: des recettes de TVA "moins dynamiques" (-4 milliards d'euros) et une baisse des "recettes liées au travail", les cotisations salariales et l'impôts sur le revenu (-8 milliards). Traduction, les plus pauvres sont encore plus pauvres malgré le (léger) recul de l'inflation. Qui aurait pu prédire?
C'est la foire à la saucisse pour réduire le déficit public. Dernière trouvaille de Bruno Le Maire, sucrer les cotisations patronales et salariales et augmenter la TVA: une vieille lune de la droite qui suscite une levée de bouclier... à Bercy, considérant que la mesure enfoncerait les plus modestes...
Le couperet est tombé: le déficit de l'Etat grimpe à 5,5% du PIB selon l'Insee, bien au-delà des prévisions officielles du gouvernement qui tablait sur 4,9%, comme s'en vantaient Bruno Le Maire et Macron. Encore un coup de maître de notre Mozart de la finance... Le "tour de vis" promis par l'exécutif, qui refuse obstinément d'augmenter les impôts, promet d'être sanglant...
He spent the rest of his presidency trying to undo the damage, went on a gov't hiring binge and initiated huge gov't spending programs (notably "#StarWars") to drive down unemployment... which never fell lower than 7.2% before he left office.