Raphaël Enthoven explique sur BFM que Guillaume Meurice « n’a pas de talent ». C’est l’imposteur de la philo qui s’exprime ou le partenaire de la dirlo de France Inter? Il faudrait que la chaîne clarifie ce point. L’endogamie de ce petit milieu… (et encore une fois, je n'ai aucun problème pour dire que ça blague ne m'a pas fait rire)
"On ne plaisante pas avec l'humour, on aura rarement vu un slogan aussi menaçant". François Morel se paye la présidence de Radio France et la direction de France Inter sur le cas Meurice tout en finesse, régal de gourmet... https://www.youtube.com/watch?v=T6T_Vwa9csY
La vraie motivation de Netanyahou est autre. Sous la pression de ses alliés d’extrême droite qui menacent de faire tomber son gouvernement, il lui faut sauver sa fragile majorité. D’autant que, rendu à son statut de simple citoyen, il aurait à répondre devant la justice des accusations de corruption dont il est l’objet.
Le "cas" Guillaume Meurice s'invite à l'Assemblée et fait réagir Rachida Dati: "En octobre 2023, l'Arcom avait mis en garde de manière très argumentée France inter suite à la chronique de Guillaume Meurice chronique. Malgré cela, il a refait sa chronique à l'identique (...) Radio France ne pouvait pas ne pas réagir", affirme la ministre de la culture. Au moins, on sait d'où la présidence de la radio prend ses ordres...
La Cour pénale internationale (CPI) pourrait émettre très prochainement des mandats d'arrêt visant Benyamin #Netanyahou et de hauts responsables israéliens pour crimes de guerre dans la bande de #Gaza, rapporte The Sunday Times.
Pour éviter cette situation, le 1er ministre israélien fait pression en multipliant les appels, notamment auprès des Américains, indiquent plusieurs médias israéliens.
«Et si, au fond, les jeunesses occidentales parvenaient à mettre en crise, par les mobilisations sur les campus, la muraille de fer militaire et diplomatique forgée par les États-Unis de Joe #Biden et le Premier ministre israélien?»
En toute logique, les plaintes pour "provocation à la violence et à la haine antisémite" de l'ami Guillaume Meurice sont classées sans suite, révèle Libé. Il avait évoqué une idée de "déguisement Nétanyahou" pour Halloween, qualifié de "sorte de nazi mais sans prépuce". La blague avait fait rire en studio mais pas en dehors...
Incapable de trouver une sortie de crise à Gaza, le premier ministre israélien ira-t-il jusqu’à exposer le Proche-Orient à une nouvelle guerre plutôt que de laisser à d’autres la tâche d’assurer la sécurité et l’avenir d’Israël par la négociation avec ses voisins?
An Israeli real estate company Harey Zahav, that specializes in developing settlements, posted this pic of destroyed #Gaza with homes and the title 'Wake up, a beach house is not a dream!" (Circulating) @israel@palestine
@Alon
I have heard various things from people supporting the israeli engagement in #Gaza and #settler driven violence in the #westbank
If the rest of the country thinks they are terrorists, there is not much visible action. Even german public tv @ZDF noted that they were silently supported by the military.
I have also heard voices like "when all is over #netanyahou will need to justify himself before court in #israel for handling the run-up and the engagement".
«Rien ne s’est passé comme espéré pour Emmanuel Macron», constate avec désarroi Le Monde.
En déplacement à Dubaï pour la COP28, le chef d'Etat a tout d'abord tenté d'organiser une nouvelle tournée régionale, notamment pour rencontrer Mohammed Ben Salman.
Sans succès.
Le président français espérait alors au moins échanger avec le prince héritier saoudien à #Dubaï, mais ce dernier a finalement annulé sa venue.
En désespoir de cause, Emmanuel Macron s'est rabattu sur l'idée d'une simple table ronde avec des dirigeants arabes en marge de la #COP28.... mais aucun n'a daigné participer.
Le «soutien sans nuance» accordé à #Israël, qui donne une «caution morale et politique» à #Netanyahou et à son #génocide à #Gaza, semble porter ses fruits, comme le redoutaient récemment les diplomates.
Dégagé d’Afrique, humilié par #Washington ou encore récemment par le #Maroc, rembarré par les #BRICS, inexistant sur l'#Ukraine: les succès de #Macron à l'international sont sans commune mesure.
[Marianne] - "Propagande mensongère et défaitiste" : le journal "#Haaretz" dopé par les menaces du gouvernement #Netanyahou.
En #Israël, les sanctions que souhaite appliquer le ministre des Télécommunications, bras droit de Benyamin Netanyahou au célèbre quotidien de gauche « Haaretz » semblent inefficaces. Elles ont même eu pour effet de doper ses ventes.
> L’humoriste a été accusé d’antisémitisme après un sketch prononcé à l’antenne de France Inter le 29 octobre. Son audition par la police mardi, confirmée par le parquet de Nanterre, fait suite à la plainte déposée par l’Organisation juive européenne au début de novembre.
L'émission "Le Grand Dimanche soir" sur Inter n'aura pas lieu ce week-end: Charline a été mise au repos par son médecin. L'animatrice est victime de menaces de mort après le sketch de Guillaume Meurice sur Netanyahou, comme son collègue. Le manque de soutien de la direction, qui a relégué l'émission le dimanche soir, n'a pas dû arranger les choses Soutien à tous les deux.
Macron fait l'unanimité... contre lui: Netanyahou a refusé ses appels après que le président a critiqué le bombardement de civils à Gaza. Macron s'est fendu d'un humiliant mea culpa, réaffirmant le droit "inconditionnel" d'Israël à se défendre. Sa proposition de "cesser le feu" est fustigée par nos partenaires, dont le chancelier allemand Scholz: "Ce serait laisser le Hamas se rétablir". Génie diplomatique...
Deux journalistes de France Inter ont été "victimes d’insultes et d’invectives" lors de la manifestation contre l'antisémitisme, fait savoir Radio France, ce que confirme la PDG de la station, Adèle Van Reeth qui soutiens les salariés attaqués. Ce soir, Charline Vanhoenacker réaffirme sa "confiance" en Guillaume Meurice tout en affirmant que la blague de l'humoriste avait "fait débat" dans l'équipe...
Macron reprend... Macron: le président dit désormais "soutenir sans équivoque Israël et (son) droit à l’autodéfense" après un appel à son homologue israélien, Isaac Herzog, fait savoir l'Elysée ce soir. Explication: Macron a rendu furieux Netanyahou en critiquant les bombardements de Tsahal sur les civils palestiniens sur la BBC... Une vraie girouette!
Je suis moins effrayé par la blague (discutable) de Guillaume Meurice sur Netanyahou que par l'annulation de l'émission de Charline et de ses acolytes en public à cause de menaces à l'encontre de l'humoriste après son sketch. Le manque de réactions, y compris des artistes, me sidère...
Je n'ai pas ri en écoutant le sketch de Guillaume (Meurice) comparant Netanyahou à un nazi. Mais quel malaise de voir Raphaël Enthoven critiquer le sketch de Guillaume Meurice sur Netanyahou sur France 5 après que sa compagne Adèle Van Reeth a "rappelé à l'ordre" l'humoriste en tant que directrice de France Inter. De quel droit lui donne-t-on cette tribune dans C à vous? L'endogamie du petit monde des médias...
On sait que #Netanyahou et l'extrême droite ont soutenu le Hamas en sous main pour torpiller les tentatives de négociation vers la solution des 2 états et la création de l'état palestinien, mais on ne souligne pas assez qu'aux dernières élections, les partis arabes en Israël ont refusé l'alliance à gauche et appelé à l'abstention aux élections permettant la victoire du premier ministre corrompu et ses alliés les colons fachos religieux de cisjordanie (qu'ils appellent Judée et Samarie)
Parti négocier la paix et l'arrêt de la colonisation en Cisjordanie en Israël, Macron propose à Netanyahou que la coalition contre l'Etat islamique "puisse lutter aussi contre le Hamas". Une alliance avec un gouvernement d'extrême-droite, c'est original...
Macron se rend en Israël mardi. Le venue du président a été annoncée par Netanyahou sur les réseaux sociaux. Le programme n'a pas encore rendu public par l'Elysée mais il devrait rencontrer les 30 familles franco-israéliennes victimes du Hamas. Déplacement délicat car la position historiquement neutre de la France a glissé vers un soutien "sans faille" du gouvernement à l'Etat hébreux.
"Dès décembre 2012, M. Netanyahou avait déclaré à l'éminent journaliste israélien Dan Margalit qu'il était important de maintenir le Hamas fort, en tant que contrepoids à l'Autorité palestinienne en Cisjordanie.
"Dans une interview, M. Margalit a déclaré que M. Netanyahou lui avait dit que le fait d'avoir deux rivaux forts, dont le Hamas, réduirait la pression exercée sur lui pour qu'il négocie en vue de la création d'un État palestinien."
"Des valises pleines d'argent
"Lors d'une réunion du cabinet en 2018, les assistants de M. Netanyahou ont présenté un nouveau plan : Chaque mois, le gouvernement qatari verserait des millions de dollars en espèces directement aux habitant·es de Gaza dans le cadre d'un accord de cessez-le-feu avec le Hamas.
"Le Shin Bet, le service de sécurité intérieure du pays, contrôlerait la liste des bénéficiaires, chaque famille étant approuvée par le gouvernement israélien, selon d'anciens responsables israéliens et étatsuniens.
[…] Des valises remplies d'argent liquide ont rapidement commencé à franchir la frontière avec Gaza.
"Chaque mois, des responsables de la sécurité israélienne rencontraient Mohammed al-Emadi, un diplomate qatari, à la frontière entre Israël et la Jordanie. De là, ils le conduisaient au poste frontière de Kerem Shalom puis dans Gaza.
"Au début, M. Emadi a apporté avec lui 15 millions de dollars à distribuer, 100 dollars étant remis à des endroits désignés à chaque famille approuvée par le gouvernement israélien, selon d'anciens responsables israéliens et étatsuniens.
"Pendant des années, le gouvernement qatari a envoyé des millions de dollars par mois dans la bande de Gaza - de l'argent qui a aidé à soutenir le gouvernement du Hamas. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu n'a pas seulement toléré ces paiements, il les avait encouragés.
"Lors de ses rencontres en septembre avec les responsables qataris, selon plusieurs personnes au fait des discussions secrètes, le chef du Mossad, David Barnea, s'est vu poser une question qui n'avait pas été inscrite à l'ordre du jour : Israël voulait-il que les paiements se poursuivent ?
"Le gouvernement de M. Netanyahou ayant récemment décidé de poursuivre cette politique, M. Barnea a répondu par l'affirmative. Le gouvernement israélien continuait d'accueillir favorablement l'argent de Doha".