En #voyage de découverte de l'#agriculture aragonaise chez un producteur de céréales bio de la province de Zaragoza, #Espagne.
Fil de photos avec ou sans commentaires.
On commence par deux paysages au passage de la frontière entre Arnéguy et Orreaga-Roncesvalles (oui : Ronceveaux et son col sont en Espagne), n'en déplaise aux nostalgiques de l'expression anachronique "de France et de Navarre" (un check géographique et historique s'impose).
On finira cette montée dans la hêtraie et son brouillard.
Première visite de #champs : quelques #amandiers, beaucoup de #céréales (principalement blé et orge), de la #luzerne, parfois un peu de colza ou des #légumes en grand (oignons, poireaux, pommes de terre) sont rendus possibles par l'#irrigation (zonas de #regadio). Çà et là quelques parcelles non irriguées nous rappellent ce que serait le #paysage sans cette #eau canalisée depuis les #Pyrénées.
Le #gypse, omniprésent dans le #paysage : petit zoom sur cette #pierre dont je ne sais malheureusement pas vous dire grand chose, hormis que ça ressemble à du #sel en #cailloux. #sol#géologie
6 mois. J’ai passé 6 mois à arpenter les sentiers, les chemins, les routes, les rivières, les montagnes et la mer de la Guadeloupe.
Avant de partir, je tiens à remercier Anne-Lise, Sixt Angilles, IG_Guadeloupe et Bimwi pour leurs soutiens matériels et moraux.
Je pars avec beaucoup de nostalgie mais sans regret. Si j’ai adoré la Guadeloupe, et plus particulièrement la Basse-Terre, mon cœur est appelé ailleurs. Je rêverai d’explorer la Nouvelle-Zélande mais il y a très peu de chances que j’y parvienne un jour tant le budget nécessaire est immense.
Alors le temps et le hasard me porteront là où ils ont à me porter. À vrai dire je n’ai aucune vision sur ma vie au delà de mon départ de Guadeloupe dans quelques jours 😶
Une chose demeure certaine : je voudrai ne pas rester en métropole où je ne me suis jamais senti à ma place.
À la limite des terres de la Guadeloupe. Après 6 mois de découvertes plus belles les unes que les autres, je termine mon exploration avec intensité grâce à Sixt Antilles.
Ainsi, voici plusieurs jours que je capture du contenu avec la Jeep Renegade, la Volkswagen Coccinelle, et la Volkswagen T-Roc !
Pour l’instant j’ai très peu le temps de me poser pour retoucher et publier, mais je terminerai ce travail au calme une fois de retour dans l’hexagone !
Ce saule quand j'étais encore écolier, était plus grand qu'aujourd'hui. Cela doit faire 60 ans que je le connais.
Je l'ai vu abattu par des bûcherons, brisé par les grandes tempêtes, foudroyé. Les enfants y ont construit des cabanes, on y a installé un mirador.
Chaque fois que je l'ai cru mort, il repousse. Au printemps, il flamboie avec un feuillage plus vif et plus jaune que les autres arbres.
Il retrouve aujourd'hui une belle taille. #photography#arbres#paysage#espoir
De la verdure à perte de vue.
Aussi improbable que cela puisse sembler, c’est quelque part dans le paysage de cette photo que j’ai rencontré @cheyenne !
En #BaladeOiseaux, ça chante et bouge de partout, le soleil me chauffe bien le dos, le fossé coule avec un petit son agréable et les épines blanches (aubépines) embaument l'air.
Et à côté de ça t'as les bourgeois qui veulent tout remplacer par des champs de monocultures empoisonnés ou par des carrefours markets.
Y a du monde ajouter dans le tas de compost...
On a #BirdWalk, there's singing and movement everywhere, the sun warms my back, the ditch flows with a pleasant sound and the white thorns (hawthorns) perfume the air.
And then there are the rich who want to replace everything with poisonous monocultures or market hubs.
There's a lot of people to add to the compost heap...
{Fr} Le bocage est une réserve de biodiversité ainsi qu’un allié face aux pollutions et à la sécheresse. Mais dans un modèle agricole productiviste, l’entretenir représente une charge. Dans des zones plutôt épargnées après-guerre, le remembrement s’accélère. 🔎
Nous avons rencontré Jean-Luc Pichon, administrateur d'Eau et rivières de Bretagne.
Le 03 février 2019.
Je venais d'apprendre le décès de mon grand père. J'écrivais.
Pauvre idiot.
Toi qui m’as encadré une majeure partie de ma vie. Qui m’as vu grandir. Qui m’as servi de tuteur.
Toi qui savais me remettre à ma place. Toi que j’ai vu vieillir. Toi que j’ai défié.
Pendant que mes rides apparaissaient, les tiennes se creusaient.
Pendant que mon corps se renforçait, le tien s’affaiblissait.
Et, alors que mes envies d’ailleurs prenaient le dessus, tu étais toujours là quand je revenais.
Tel un repère.
Tel un grand-père.
Me voici sur un sentier qui s’écarte de la trace de la Grande Pointe. C’est un endroit que j’apprécie tout particulièrement pour l’énergie que la mer y dégage. De grandes vagues s’y fracassent dans un bruit et un stimuli visuel revigorants !
Mais un jour, alors que je me promenais avec Cheyenne, elle m’a emmené à travers la végétation jusqu’à un ancien moulin. Dernière marque humaine avant ce petit chemin qui, d’apparence pourtant très classique, regorge de charme.
Explorer le monde pour me découvrir moi-même. Un vagabondage inarrêtable, pulsionnel, viscéral. À la conquête de mon inconscient.
Complexité d’un itinéraire aléatoire. Magnificence des destinations trouvées. Alors que certains glissent sur l’autoroute du bonheur, je m’écorche sur les sentiers de la plénitude.
Encore merci à Sixt Antilles de m’avoir permis de réaliser ce contenu !