Il suffit de presque rien pour publier un zine afin d’offrir au monde votre poésie ou vos bandes dessinées : une page, peu importe son format, une paire de ciseau et de quoi écrire et dessiner. Si l’œuvre est en noir et blanc, elle sera même facilement reproductible par photocopie. Voici la méthode la plus simple pour créer un zine, sans brocheuse ni couture. J’ai adapté ici un tutoriel en anglais, How to make mini-comic de Doctor Popular. Le document est libre de droits, vous pouvez donc l’imprimer et l’utiliser à votre guise : https://pycomtoisbd.files.wordpress.com/2024/05/commentfabriquerunzine.pdf
Eustache et Mouche sont des cambrioleurs pas banals, à la technique extrêmement sophistiquée. Sur les lieux de leurs forfaits, ils laissent une carte en forme de papillon. Un Bombyce. Ce jour-là, ils s'introduisent par les toits chez le baron Guillaume Bernard de Harcourd.
J'ai adoré le dessin, l'univers steampunk de Bordeaux qui déploie des couleurs plutot orangés et généreuses. Les personnyages sont découpés de manière franche, caricaturale.
Reste le scényario qui nous tient en haleine et que je n'ai pas aimé car il termine mal, c'est une tragédie. Une affreuse histoire bien racontée, rythmée mais horrible à tel point que je n'y ais plus retouché.
Je suis une travailleuse du sexe de vingt-quatre ans - une pute, quoi. Vendre une prestation sexuelle n'est pour moi ni dégradant ni traumatisant. Être pute, moi, ça me plaît, et ce qui me choque, c'est que ça choque. Ce qui est insupportable en revanche, c'est d'exercer ce métier au sein d'un système qui ne veut pas de moi. Qui n'admet pas que nous existions, nous, les putes libres et épanouies. Qui ne veut nous donner aucun droit, aucun statut. Qui ne veut pas nous entendre, nous et nos revendications. Sauf qu'un cri de révolte, ça ne s'étouffe pas. Ce livre en est la preuve. Dans son premier roman graphique, l'auteure et dessinatrice Klou nous raconte son parcours, à la fois intime et politique, de travailleuse du sexe. Elle y décrypte la socialisation liée au genre, mais aussi sa découverte du militantisme féministe pro-sexe et LGBTQIA+. Sur des sujets controversés, elle apporte son regard acéré, drôle, et engagé.
Une excellente BD autobiographique servie par un dessin léger qui rappelle ceux du prince charle mais plus épuré.
Là on requestionne le travail du sexe et sort un peu des sentiers battues avec le Nid qui lutte contre le proxenetisme.
Happy to be presenting my book & comic project tonight at the University of Cagliari, during an interdisciplinary seminar as part of my Visiting Professorship.
As I've been spending the past few days translating the 'comic' section of it into French from the original English, and will be presenting this in Italian, it really makes me think about how language shapes how we think and write about the world, beyond images. #geography#visualMethods#ethnography#history#comics#bandeDessinée
1906, Barellito. Une famille venue de Londres emménage au bord de la mer, dans un petit village d’Italie. Le père veut se consacrer à la pêche. Le fils, William, se réjouit déjà à l’idée de courir en pleine nature, loin de la grisaille londonienne. Et puis, il y a Lisa, la petite voisine aux cheveux noirs qui l’a si gentiment accueilli… Mais les habitants de Barellito ne cachent pas leur hostilité aux nouveaux arrivants. Ils n’apprécient pas que des " étrangers " s’installent chez eux. Quant à Lisa, elle semble douée d’étranges pouvoirs…
@SFRuminations
nice to see a Segrelles cover! #Segrelles would go on to become famous in Europe with his European-style comic books (bande dessinees) The Mercenary. His trade were actual oil paintings, and in later years he would switch to computers.
Le Monde Sans Fin: the Institut Francais D'Ecosse on the Royal Mile, #Edinburgh , has a free exhibition (until May 10th) around the bestselling graphic novel collaboration between environmental scientist Jean-Marc Janovici and Angouleme winning creator Christophe Blain. I have a short review up on Down the Tubes https://downthetubes.net/in-review-le-monde-sans-fin-exhibition-edinburgh/
« Si j'ai envie de raconter des petits riens de la vie quotidienne, c'est parce que j'attache de l'importance à l'expression des balancements, des incertitudes que les gens vivent au quotidien, de leurs sentiments profonds dans les relations avec les autres. [...] Dans la vie quotidienne, on ne voit pas souvent des gens hurler ou pleurer en se roulant par terre. Si mes mangas ont quelque chose d'asiatique, c'est peut-être parce que je m'attache à rendre au plus près la réalité quotidienne des sentiments des personnages. Si on y pénètre en profondeur, une histoire peut apparaître même dans les plus petits et les plus banals événements du quotidien. C'est à partir de ces moments infimes que je crée mes mangas. »
« Le paradoxe, c’est que tout en étant mangaka, mon style est assez proche de la bande dessinée à l’européenne et que je mets beaucoup d’éléments dans chaque image. Je me situe sans doute entre la BD et le manga de ce point de vue. Et c’est peut-être ce qui fait que pour certains lecteurs japonais mes mangas sont difficiles à lire… »
The Brilliant Artists site has a terrific selection of work by Owen D Pomery. I've absolutely loved his graphic novels for Avery Hill , Victory Point and The Hard Switch, nice to be able to browse some more of his artwork https://brilliantartists.co.uk/artists/owen-d-pomery/