#TIL that #StockholmSyndrome was invented by #police and a bad psychologist to discredit a female hostage who didn't trust the cops after they did nothing to protect the captive employees during a bank heist.
Her "crime" was trying to negotiate with the criminals to protect her own life, while the police and the state preferred having dead hostages over closing any deal with the thieves.
CT state troopers entered up to 60K fake tickets, issued to imaginary white people, to game a database designed to ferret out racial profiling. (And didn't enter real tickets issued to Black people.) One in 4 troopers were doing it. And it seems like nobody is being punished for this crime.
One Woman Died on an #Alaska Mayor’s Property. Then Another. No One Has Ever Been Charged.
Before they died, Jennifer Kirk and Sue Sue Norton were both victims of domestic violence, but the men involved — the ex-mayor’s sons — faced few consequences despite a long history of similar allegations.
Yesterday at a protest, Dutch #police ordered everyone to remove their face mask.
It was a large gathering, and several of us were wearing #masks to protect against #covid19. It's a bloody pandemic, after all!
I did not comply, but felt very uncomfortable after the order. As if a target had been painted on my forehead.
It doesn't help that anti-mask attitudes are the new norm, and that those trying to avoid covid are abandoned from all sides. And yes, lefties, this includes many of you.
Stressed beyond her limits and overwhelmed by hours of shock and grief after illegal police raids on her home and the Marion County Record newspaper office Friday, 98-year-old newspaper co-owner Joan Meyer, otherwise in good health for her age, collapsed Saturday afternoon and died at her home.
A fifth-grader from #Brownsville ISD reported being bullied by his principal. Five days later, he was handcuffed and detained. He spent 3 days in solitary confinement.
Looks like the #AntiMonarchist demonstrators were subject to a classic bait & switch operation today - they were reassured through detailed meetings with the #Police, led to believe there was a way that they could exercise their right to protest, only then to be arrested when they did... so much for #democracy - another step down a road we're constantly told is merely scaremongering.... its almost entrapment
This week: When #Brownsville ISD had an 11-year-old boy arrested and placed in #solitary confinement, we dug deeper. What we found was horrifying: Over 75 fifth-grade students have been arrested there this year.
The idea that Indigenous, brown, and Black people should carry firearms to protect ourselves under the 2nd Amendment kinda falls apart when cops shoot us multiple times for having cellphones, wallets, or dark-coloured hands.
In an unprecedented raid Friday, local law enforcement seized computers, cellphones and reporting materials from the Marion County Record office, the newspaper's reporters, and the publisher's home.
A Chicago #Cop Is Accused of Lying Under Oath 44 Times. Now #Prosecutors Are Dropping Cases That Relied on His Testimony.
Former #Chicago officer Jeffrey Kriv faces charges for #perjury and #forgery after getting out of dozens of #traffic violations by claiming his girlfriend had stolen his car.
Now, cases that stem from #arrests Kriv made are in jeopardy.
Yet more misogyny by the UK's #police... it seems some police forces are testing women who have suffered from miscarriages for the presence of #abortion drugs in their body.
As if having a miscarriage wasn't distressing enough, now the state wants to check whether it can prosecute you.
A women's right to choose is where we should be, not in this latest twist on surveillance society.
#Police Resistance and #Politics Undercut the Authority of Prosecutors Trying to Reform the Justice System
After major American cities began electing prosecutors who campaigned on the promise of systemic reform, law enforcement unions labeled these DAs as soft on #crime while lawmakers made legal and legislative efforts to remove them from office.
Today in Labor History October 15, 1966: The Black Panther Party was created by Huey P. Newton and Bobby Seale, in Oakland, California. One of their early core practices was open-carry armed citizen’s patrols monitoring abusive police behavior. They also implemented free breakfast programs and community health clinics, and advocated for revolutionary class struggle. The FBI sabotaged the Panthers through its COINTELPRO and participated in the assassination of Panthers, like Fred Hampton and Mark Clark. In 1969, the Panthers officially declared sexism to be counterrevolutionary and ordered its male members to treat women as equals. In 1970, Huey Newton expressed support for the Women’s Liberation Movement, and the LGBTQ Liberation Movement which, he correctly noted, were subject to much of the same police brutality as were African Americans.
She named her kids "Aryan" and "Nation," and the cops slow-walked their investigation and tried to blame her Native American victim until the media brought some heat.
#police
« les jeunes hommes perçus comme noirs ou arabes ont une probabilité vingt fois plus élevée que l’ensemble de la population d’être contrôlés par la police. »
Testé sur le terrain.
Voilà.
La police est raciste.
Ce ne sont pas juste des cas isolés.
Affaire Legay : l'histoire du document qui a fait condamner le commissaire de police
Par Michaël Hajdenberg, coresponsable du pôle Enquête de Mediapart.
C'est une première. Le commissaire Rabah Souchi a été condamné le 8 mars à six mois de prison avec sursis. C'est lui qui avait ordonné en 2019, à Nice, la charge ayant causé de graves blessures à la militante pacifiste Geneviève Legay, lors d'une manifestation.
Fait exceptionnel : le policier qui a renversé la septuagénaire n'a, lui, pas été poursuivi. Il n'avait fait qu'appliquer les ordres.
Mais sans un document récupéré par la journaliste Pascale Pascariello pendant son enquête, le commissaire Souchi ne se serait probablement jamais assis sur le banc des prévenus.
Pascale Pascariello a tout révélé dans cette affaire : les mensonges du commissaire, du maire, d'Emmanuel Macron ; les causes réelles des blessures de la manifestante ; l'enquête préliminaire biaisée (conduite par la compagne du commissaire).
Mais un élément a été décisif. Au cours de son enquête, Pascale Pascariello apprend de la part d'un de ses contacts gendarme que le jour des faits, un capitaine de gendarmerie à la tête d'un escadron de 60 hommes a refusé de charger et s'est opposé aux ordres du commissaire.
« D'abord je me méfie. On est toujours dans l'idée qu'il peut y avoir une guéguerre entre policiers et gendarmes. Mais je me dis surtout que les gendarmes notent tout, font des rapports. Et que si un capitaine s'est vraiment opposé, le compte rendu doit se trouver quelque part. »
Mais impossible de mettre la main dessus. L'affaire est ultra-sensible politiquement. Il faut être sacrément courageux pour oser prendre le risque de désavouer la police, le ministre et le président de la République qui se sont tous mouillés dans cette affaire.
Le contact de Pascale Pascariello a une capture d'écran. « Il me la lit, sans vouloir me la transmettre. Et puis ça ne suffit de toute façon pas. Il faut que j'aie le rapport entre les mains. Je sais que la hiérarchie policière est capable de démentir, d'enfumer, de faire corps et de contre-attaquer. Et puis si je suis poursuivie en diffamation, il faut que j'aie les preuves matérielles de ce que j'avance. »
La journaliste parvient à connaître le nom de l'auteur du compte rendu. Puis à obtenir son numéro de portable. Mais il refuse de lui répondre.
Pascale Pascariello, coincée, ne cesse alors de rappeler son contact initial. « Il décrochait et, avant même que je ne puisse parler, me disait : "Je sais : c'est pour le rapport..." »
Un jour, confie la journaliste, une de ses meilleurs sources policières lui a offert une édition ancienne d'un livre de Jules Vallès pour la féliciter de son travail tout en la moquant : « Vous nous avez par l'épuisement. »
En effet. De guerre lasse, son contact initial finit par la mettre en relation avec un gendarme très haut gradé, dont elle sait qu'il a été destinataire dudit rapport (et qui a donné son accord à la journaliste pour qu'elle fasse aujourd'hui part de ce rendez-vous sans le nommer).
Il sait ce qu'elle veut, lui donne rendez-vous dans sa caserne. « Vous n'avez qu'à sonner et vous annoncer. » La journaliste se désespère : quand on récupère un document sensible, c'est rarement dans un lieu aussi peu discret, au vu et au su de tous. « Et quand j'arrive, c'est encore pire : il me fait visiter la caserne, me présente à une chargée de communication. J'essaie de rester aimable et courtoise mais je me dis que je perds mon temps. »
Impression confortée quand elle pénètre dans son bureau feutré, fermé avec des doubles portes très épaisses, en cuir. « On va être clair. Vous venez pour la note, mais vous ne l'aurez pas. »
Pascale Pascariello se lamente : « Ben oui, maintenant que vous m'avez présentée à tout le monde... »
Le gendarme la détrompe : « Ça, ce n'est pas un problème. J'assume de voir Mediapart. Mais je ne voudrais pas attirer des problèmes au capitaine qui a refusé les ordres. Qu'on puisse croire que c'est lui votre source. Ou même le placer au centre de l'attention, ce qui pourrait lui être préjudiciable. Car ce qui est regrettable, poursuit-il, c'est qu'on ne soutienne pas de tels comportements. Quand un gendarme refuse un ordre illégal, on devrait l'encenser. Or c'est tout le contraire. »
La journaliste le travaille au corps, le fait parler du maintien de l'ordre en général. « Si ce n'est pas une copie, je peux au moins prendre une photo », retente-t-elle.
Rien à faire : « Non. Vous la recopiez, mot pour mot, et c'est tout. » Pascale Pascariello a alors recours à une technique bien à elle : « Je boude. Je dis : "Ben oui, je vais la recopier. Mais je me demande bien à quoi ça sert." Je souffle. Je note. Je rouspète. »
Et là, le gendarme s'excuse et se lève, quitte le bureau. « Je vous fais confiance. » La note est restée, elle. Sur le bureau. Devant Pascale Pascariello. « Je sais que les gens vont se dire : "Mais qu'est-ce qu'elle est bête Pascariello !" Ils vont se dire que s'il est sorti, c'est qu'il ne voulait pas voir ça, il ne voulait pas m'autoriser formellement à le faire, mais voulait que je la récupère. Il avait sûrement besoin de cette béquille psychologique pour franchir le pas. »
Mais la journaliste ne se lève pas pour s'en emparer et la photographier. « J'ai mon téléphone dans la main. J'hésite. Je me dis qu'il m'espionne peut-être, qu'il peut y avoir une caméra, un piège, qu'il teste peut-être la confiance qu'on peut m'accorder. Et puis je ne comprends pas : il a l'air franc, carré, courageux. Pas tordu. Dans ma tête, ça cogne : je le fais, je ne le fais pas ? Je le fais, je ne le fais pas ? »
Ses fesses décollent légèrement de sa chaise mais ses pieds restent scotchés au sol. « Il s'est peut-être absenté cinq minutes mais ça m'a paru très long. Et quand il a ouvert la porte je me suis mordu la lèvre et je me suis dit que j'étais vraiment trop bête. »
Le gendarme ne se rassoit pas : « Bon, je crois qu'on a fait le tour de la question, madame. » La journaliste se dirige vers la porte. « Et là, il me hèle : "Attendez ! Je crois que vous avez oublié quelque chose." Et il me tend la note. »
« Je me suis retenue de ne pas le prendre dans mes bras. J'étais tellement contente. Tellement admirative aussi. Il savait les risques qu'il encourait. »
Le gendarme lui explique : « Ma direction a la note mais va l'enterrer. Elle ne sera jamais transmise à la justice et personne ne saura jamais qu'elle a existé. Il n'y a que par vous que la vérité peut émerger. »
De fait, c'est la publication de cette note qui obligera l'IGPN, la police des polices, à questionner la responsabilité du commissaire. « Le fait qu'on sache qu'un capitaine de gendarmerie avait refusé d'appliquer cet ordre insensé de Souchi a changé l'orientation de l'enquête. Sinon, c'est le policier ayant heurté Geneviève Legay qui aurait été poursuivi », analyse la journaliste.
Près de cinq ans plus tard, le commissaire a donc été condamné. Et aujourd'hui, dans les écoles de formation de la gendarmerie, le cas Legay est étudié ; aux élèves, ces mots sont adressés : « Rappelez-vous que vous avez le devoir de refuser un ordre illégal ou disproportionné. »
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Illegal raids contribute to death of newspaper co-owner (marionrecord.com)
Stressed beyond her limits and overwhelmed by hours of shock and grief after illegal police raids on her home and the Marion County Record newspaper office Friday, 98-year-old newspaper co-owner Joan Meyer, otherwise in good health for her age, collapsed Saturday afternoon and died at her home.
Police stage 'chilling' raid on Marion County newspaper, seizing computers, records and cellphones - Kansas Reflector (kansasreflector.com)
In an unprecedented raid Friday, local law enforcement seized computers, cellphones and reporting materials from the Marion County Record office, the newspaper's reporters, and the publisher's home.